Lesarchives par sujet : collectif km. Précédent 123 4 5 Suivant Category Manager RHD H/F. Emploi Agroalimentaire Montaigu, 85, Vendée, Pays de la Loire Rattaché(e) à la Direction du Commerce, et dans un environnement industriel de 2 300 collaborateurs, vous intégrez une équipe RHD de 25 personnes.

LOCALTIS INFO – 25-01-2016 Le SĂ©nat a poursuivi l’examen en sĂ©ance en premiĂšre lecture du projet de loi sur la biodiversitĂ©, dans la soirĂ©e du jeudi 21 janvier et le vendredi 22. Une centaine d’amendements restaient encore Ă  examiner en milieu d’aprĂšs-midi ce vendredi. Plusieurs mesures concernant les milieux aquatiques ont Ă©tĂ© adoptĂ©es la veille en fin de journĂ©e. AprĂšs l’article 32 bis B, JoĂ«l LabbĂ©, sĂ©nateur Ă©cologiste du Morbihan, a obtenu le vote d’un amendement permettant de faciliter la mise en Ɠuvre du droit de prĂ©emption des agences de l’eau par le biais des Safer ». Celles-ci mettront, ainsi, Ă  la disposition des agences de l’eau leur savoir-faire d’opĂ©rateur foncier ». Cette disposition devrait permettre le processus d’acquisition des agences de l’eau et par consĂ©quent, de rendre plus effective leur mission de protection des zones humides », a soutenu JoĂ«l LabbĂ©. CompĂ©tence Gemapi L’article 32 bis, relatif aux missions des Ă©tablissements publics territoriaux de bassin EPTB, a Ă©tĂ© adoptĂ© sans modification. Le gouvernement a retirĂ© l’un de ses amendements au profit de deux amendements identiques portĂ©s par les sĂ©nateurs LR Jean-François Husson Meurthe-et-Moselle et Jean-Claude Requier RDSE, Lot et adoptĂ©s Ă  l’unanimitĂ©. Ils proposent d’introduire dans la loi une procĂ©dure facilitĂ©e de transformation des institutions interdĂ©partementales en syndicat mixte ». Elle permettrait d’assurer la continuitĂ© des actes juridiques et de garantir l’avenir des personnels », l’ensemble des personnels de l’institution Ă©tant rĂ©putĂ© relever du syndicat mixte, dans les conditions de statut et d’emploi qui sont les siennes ». Ils rappellent que la crĂ©ation de la compĂ©tence gestion des milieux aquatiques et prĂ©vention des inondations » Gemapi et son attribution aux communes et leurs groupements peuvent appeler les institutions interdĂ©partementales intervenant dans ce champ Ă  Ă©voluer en syndicat mixte afin d’éviter la coexistence de plusieurs structures sur un mĂȘme pĂ©rimĂštre. En l’état actuel du droit, il faudrait procĂ©der Ă  une dissolution de l’institution interdĂ©partementale puis Ă  la constitution d’un syndicat mixte », s’inquiĂštent les sĂ©nateurs, cette procĂ©dure pouvant conduire Ă  la dĂ©stabilisation de la structure du fait des transferts qui interviennent lors de la dissolution en termes de propriĂ©tĂ© et de moyens humains et financiers liĂ©s ». A l’article 32 ter A, JĂ©rĂŽme Bignon LR-Somme a fait adopter un amendement de coordination avec la loi Notr. AprĂšs cet article, il a aussi fait adopter un amendement visant Ă  mieux coordonner les dispositions relatives Ă  la taxe pour la gestion des milieux aquatiques et la prĂ©vention des inondations entre code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts et code de l’environnement, et Ă  l’articuler avec la redevance pour service rendu dans le code rural et de la pĂȘche maritime ». Un amendement du gouvernement a Ă©galement Ă©tĂ© adoptĂ© avec l’avis favorable de la commission. Il vise notamment Ă  permettre aux communes et aux EPCI de lever la taxe Gemapi, mĂȘme s’ils ont transfĂ©rĂ© tout ou partie de la compĂ©tence Ă  un ou plusieurs syndicats y compris les Ă©tablissements publics d’amĂ©nagement Epage et Ă©tablissements publics territoriaux de bassin EPTB ». Mesures de compensation Les sĂ©nateurs ont ensuite dĂ©battu du sujet controversĂ© de la compensation, dernier volet du triptyque Ă©viter, rĂ©duire, compenser » qui doit ĂȘtre appliquĂ© lors de la rĂ©alisation d’un projet portant atteinte Ă  la biodiversitĂ©. Les articles relatifs Ă  ce sujet sont placĂ©s au sein du chapitre II mesures fonciĂšres et relatives Ă  l’urbanisme du titre V consacrĂ© aux espaces naturels et Ă  la protection des espĂšces. Parmi les modifications intĂ©ressant directement les collectivitĂ©s territoriales, deux amendements ont Ă©tĂ© votĂ©s Ă  l’article 33 BA, qui prĂ©voit la rĂ©alisation par l’Agence française pour la biodiversitĂ© d’un inventaire national des espaces naturels appartenant Ă  des personnes morales de droit public et susceptibles d’ĂȘtre mobilisĂ©s pour la mise en Ɠuvre de mesures de compensation. Le premier prĂ©cise que l’inventaire est fait en coordination avec les instances compĂ©tentes locales » ; le second, dĂ©fendu par le rapporteur JĂ©rĂŽme Bignon ajoute que cet inventaire cible les espaces naturels Ă  fort potentiel de gain » Ă©cologique. Le centriste Henri Tandonnet Lot-et-Garonne a fait adopter une sĂ©rie d’amendements crĂ©ant une section 3 bis sur la protection des chemins ruraux articles 35 bis, 35 ter, 35 quater et 35 quinquies. A la demande du sĂ©nateur socialiste de l’Aude Roland Courteau, l’article 36 bis AA qui prĂ©voyait la participation du centre national de propriĂ©tĂ© forestiĂšre Ă  l’élaboration des documents d’urbanisme Scot et Plu a Ă©tĂ© supprimĂ© pour Ă©viter un alourdissement des procĂ©dures ». Le gouvernement a obtenu la suppression de l’article 36 quater A, qui visait Ă  permettre la cession Ă  titre gratuit d’immeubles du domaine privĂ© de l’État Ă  un conservatoire rĂ©gional d’espaces naturels agréé, lorsque ces immeubles prĂ©sentent une forte valeur Ă©cologique. Les Domaines ont Ă©mis de justes rĂ©serves sur cet article on ne peut aliĂ©ner les biens publics Ă  titre gratuit sans Ă©valuation prĂ©alable », a justifiĂ© la ministre de l’Écologie SĂ©golĂšne Royal, au cours de la sĂ©ance de nuit. Prise en compte de la biodiversitĂ© urbaine L’article 36 quater sur les continuitĂ©s Ă©cologiques a Ă©tĂ© réécrit par un amendement de JĂ©rĂŽme Bignon, en coordination » avec la réécriture du livre Ier du code de l’urbanisme par l’ordonnance n° 2015-1174 du 23 septembre 2015 relative Ă  la partie lĂ©gislative du livre Ier du code de l’urbanisme. Le groupe Ă©cologiste a obtenu le rĂ©tablissement de l’article 36 quinquies B qui propose que les plans climat air Ă©nergie territoriaux Ă©laborĂ©s par les intercommunalitĂ©s prennent en compte la biodiversitĂ© urbaine. De nouveaux articles quinquies C et quinquies D ont Ă©tĂ© créés Ă  l’initiative du groupe socialiste pour insĂ©rer la notion de permaculture dans les documents d’urbanisme. Un nouvel article créé Ă  la demande de Charles Revet LR, Seine-Maritime crĂ©e une section sur les vergers, dans lequel est insĂ©rĂ© l’article 36 septies. Le gouvernement a obtenu pour sa part la ratification de l’ordonnance n°2015 – 1174 du 23 septembre 2015 relative Ă  la partie lĂ©gislative du livre Ier du code de l’urbanisme article 36 octies. L’examen du texte au SĂ©nat devait s’achever ce vendredi 22 janvier au soir, et sera suivi d’un vote solennel le 26 janvier. Le projet de loi repartira ensuite en deuxiĂšme lecture Ă  l’AssemblĂ©e.
Audelà des retouches de vocabulaire, l'exécutif a apporté quelques corrections au projet qui avait fuité dans la presse, pour tenir compte des réserves du Conseil d'Etat. Il conditionne en particulier les perquisitions au feu vert d'un magistrat de l'ordre judiciaire: le juge des libertés et de la détention (JLD), auquel il appartiendra aussi d'autoriser l'exploitation des
Download Free PDFDownload Free PDFDownload Free PDFKouroch BellisThis PaperA short summary of this paper37 Full PDFs related to this paperDownloadPDF PackPeople also downloaded these PDFsPeople also downloaded these free PDFsPeople also downloaded these free PDFsSystĂšme de l’obligation naturelle articleby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFSystĂšme de l’obligation naturelle articleby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFComparaison internationale des lĂ©gislations de l’obligation naturelle Ă  l’occasion du projet de nouveau Code civil belgeby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFComparaison internationale des lĂ©gislations de l’obligation naturelle Ă  l’occasion du projet de nouveau Code civil belgeby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFDes exceptions opposables par la caution au crĂ©ancier. Proposition d’explication et de disposition fondĂ©es sur la validitĂ© du cautionnement de l’obligation naturelleby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFDes exceptions opposables par la caution au crĂ©ancier. Proposition d’explication et de disposition fondĂ©es sur la validitĂ© du cautionnement de l’obligation naturelleby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFDu refus administratif de dĂ©duction de l’assiette de l’impĂŽt sur le revenu des obligations alimentaires naturelles, ou pour l’organisation d’un appui scientifique Ă  la dĂ©cision politique Autour de l’article 156, II, 2 CGIby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFDu refus administratif de dĂ©duction de l’assiette de l’impĂŽt sur le revenu des obligations alimentaires naturelles, ou pour l’organisation d’un appui scientifique Ă  la dĂ©cision politique Autour de l’article 156, II, 2 CGIby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFL'engagement unilatĂ©ral L'ENGAGEMENT UNILATÉRALby Adina BuciumanDownload Free PDFView PDFRELATED PAPERSL'engagement unilatĂ©ral L'ENGAGEMENT UNILATÉRALby Adina BuciumanDownload Free PDFView PDF Rawls et le devoir de fair play », Philosophical Enquiries, Revue des philosophies anglophones, n°2, juin 2014, CĂ©line SpectorDownload Free PDFView PDF Rawls et le devoir de fair play », Philosophical Enquiries, Revue des philosophies anglophones, n°2, juin 2014, CĂ©line SpectorDownload Free PDFView PDFLe nĂ©onormativisme, constructivisme inachevĂ©by Marc DorayDownload Free PDFView PDFLe nĂ©onormativisme, constructivisme inachevĂ©by Marc DorayDownload Free PDFView PDFDROIT DES OBLIGATIONS DROIT FRANCAIS -DROIT LIBANAIS PERSPECTIVES EUROPEENNES ET INTERNATIONALESby Samake IbrahimaDownload Free PDFView PDFDROIT DES OBLIGATIONS DROIT FRANCAIS -DROIT LIBANAIS PERSPECTIVES EUROPEENNES ET INTERNATIONALESby Samake IbrahimaDownload Free PDFView PDFLEXIQUE DE TERMES JURIDIQUESby HACK3R CFADownload Free PDFView PDFLEXIQUE DE TERMES JURIDIQUESby HACK3R CFADownload Free PDFView PDFDroit de la familleby anais padaliDownload Free PDFView PDFDroit de la familleby anais padaliDownload Free PDFView PDFLa nature de l’obligation. Le moment Spinoza’ dans la sociologie classique française», in E. Debray, K. S. Ong-Van-Kung, F. Lordon ed., Les passions du social, Paris, Editions Amsterdam, 2019, pp. Nicola MarcucciDownload Free PDFView PDFLa nature de l’obligation. Le moment Spinoza’ dans la sociologie classique française», in E. Debray, K. S. Ong-Van-Kung, F. Lordon ed., Les passions du social, Paris, Editions Amsterdam, 2019, pp. Nicola MarcucciDownload Free PDFView PDFLa pensée juridique de H. Deroussin DavidDownload Free PDFView PDFLa pensée juridique de H. Deroussin DavidDownload Free PDFView PDFLes obligations de l'Etat vis-Ă -vis des Ă©trangers et le circuit de l'exigence Ă©thiqueby Papa DieyeDownload Free PDFView PDFLes obligations de l'Etat vis-Ă -vis des Ă©trangers et le circuit de l'exigence Ă©thiqueby Papa DieyeDownload Free PDFView PDF"Fitzmaurice et la distinction entre traitĂ© et obligation conventionnelle" in IHEI, Les Grandes pages du droit international, Vol. 2 "Les Sources", Paris, Pedone, 2016by Emmanuel BourdoncleDownload Free PDFView PDF"Fitzmaurice et la distinction entre traitĂ© et obligation conventionnelle" in IHEI, Les Grandes pages du droit international, Vol. 2 "Les Sources", Paris, Pedone, 2016by Emmanuel BourdoncleDownload Free PDFView PDFCours de Droit des Obligations SĂ©nĂ©gal COURS DE DROIT DES OBLIGATIONS INTRODUCTION GENERALE AU DROIT DES OBLIGATIONSby Seydina Ousmane DramĂ©Download Free PDFView PDFCours de Droit des Obligations SĂ©nĂ©gal COURS DE DROIT DES OBLIGATIONS INTRODUCTION GENERALE AU DROIT DES OBLIGATIONSby Seydina Ousmane DramĂ©Download Free PDFView PDFTout n'est pas contractuel dans le contrat. Variations sur un thĂšme durkheimien dans la sociologie contemporaine amĂ©ricaineby CĂ©line BoniccoDownload Free PDFView PDFTout n'est pas contractuel dans le contrat. Variations sur un thĂšme durkheimien dans la sociologie contemporaine amĂ©ricaineby CĂ©line BoniccoDownload Free PDFView PDFETRE ET PENSERby Direito 2016Download Free PDFView PDFETRE ET PENSERby Direito 2016Download Free PDFView PDFFigures de l’abnĂ©gation dans les relations familiales perspectives critiques en droit civilby Yann FAVIERDownload Free PDFView PDFFigures de l’abnĂ©gation dans les relations familiales perspectives critiques en droit civilby Yann FAVIERDownload Free PDFView PDF L’insoutenable lĂ©gĂšretĂ© de l’ĂȘtre. Les errances de la conscience dans les RĂȘveries du promeneur solitaire », Studi Filososofici, 2015, XXXVIII, p. CĂ©line SpectorDownload Free PDFView PDF L’insoutenable lĂ©gĂšretĂ© de l’ĂȘtre. Les errances de la conscience dans les RĂȘveries du promeneur solitaire », Studi Filososofici, 2015, XXXVIII, p. CĂ©line SpectorDownload Free PDFView PDFH HI IS ST TO OI IR RE E D DE ES S O OB BL LI IG GA AT TI IO ON NS Sby Patricia BeiĂ©Download Free PDFView PDFH HI IS ST TO OI IR RE E D DE ES S O OB BL LI IG GA AT TI IO ON NS Sby Patricia BeiĂ©Download Free PDFView PDFLa guerre des universaux. La place de Simmel dans la rĂ©flexion sociologique sur l’obligation», Sociologie et SociĂ©tĂ©s, 2012, XLV, 2, pp. Nicola MarcucciDownload Free PDFView PDFLa guerre des universaux. La place de Simmel dans la rĂ©flexion sociologique sur l’obligation», Sociologie et SociĂ©tĂ©s, 2012, XLV, 2, pp. Nicola MarcucciDownload Free PDFView PDFÉtude philosophique du renversement juridique canadien concernant l'aide mĂ©dicale Ă  mourir, Ă  la lumiĂšre du dĂ©bat Hart-Dworkinby SĂ©bastien LacroixDownload Free PDFView PDFÉtude philosophique du renversement juridique canadien concernant l'aide mĂ©dicale Ă  mourir, Ă  la lumiĂšre du dĂ©bat Hart-Dworkinby SĂ©bastien LacroixDownload Free PDFView PDFSAISIR LES FAITS ÉCONOMIQUES LA MÉTHODE COMMONSby Bruno ThĂ©retDownload Free PDFView PDFSAISIR LES FAITS ÉCONOMIQUES LA MÉTHODE COMMONSby Bruno ThĂ©retDownload Free PDFView PDFConsentement et subjectivitĂ© juridique contribution Ă  une thĂ©orie Ă©motivo-rationnelle du droitby Maxence ChristelleDownload Free PDFView PDFConsentement et subjectivitĂ© juridique contribution Ă  une thĂ©orie Ă©motivo-rationnelle du droitby Maxence ChristelleDownload Free PDFView PDFContrat et responsabilitĂ© civile pour un systĂšme juste en droit des obligationsby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFContrat et responsabilitĂ© civile pour un systĂšme juste en droit des obligationsby Kouroch BellisDownload Free PDFView PDFRELATED TOPICSJurisprudenceNatural LawLaw of ObligationsConscienceLegal PhilosophyThĂ©orie du droitPhilosophie Du DroitDroit NaturelMoralsDroit Des ObligationsFrench legal traditionTradition juridique françaiseRelated topicsRelated topicsJurisprudenceNatural LawLaw of ObligationsConscienceLegal PhilosophyThĂ©orie du droitPhilosophie Du DroitDroit NaturelMoralsDroit Des ObligationsFrench legal traditionTradition juridique française
Paris- Les députés ont modifié en commission mercredi soir, à la demande du gouvernement, le dispositif Hamon sur la transmission des entreprises à l'occasion de l'examen du projet de loi
PubliĂ© le 19 avril 2021 Environnement, AmĂ©nagement et foncier, urbanisme, Habitat Les dĂ©putĂ©s ont achevĂ© le 16 avril l'examen en sĂ©ance publique du titre IV "Se loger" du projet de loi Climat et RĂ©silience en adoptant les derniĂšres mesures concernant la protection des espaces naturels et l'adaptation des territoires aux effets du dĂ©rĂšglement climatique. EntamĂ© le 12 avril par les dispositions sur la rĂ©novation Ă©nergĂ©tique des logements voir notre dossier, l'examen en sĂ©ance par les dĂ©putĂ©s du titre IV Se loger du projet de loi Climat et RĂ©silience ne s'est achevĂ© que ce 16 avril. AprĂšs des dĂ©bats enflammĂ©s sur le volet artificialisation des sols, qui ont dĂ©bouchĂ© sur de nombreux amendements, les discussions ont Ă©tĂ© plus sereines sur les derniĂšres dispositions du titre IV sur la protection des Ă©cosystĂšmes et les risques liĂ©s Ă  l'Ă©rosion cĂŽtiĂšre, qui avaient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© largement enrichies en commission. Protection des Ă©cosystĂšmes chapitre IV StratĂ©gie nationale des aires protĂ©gĂ©es Cet article, qui vise Ă  inscrire dans la loi les objectifs de la stratĂ©gie nationale pour les aires protĂ©gĂ©es 2020-2030, a Ă©tĂ© lĂ©gĂšrement modifiĂ© en sĂ©ance. Un amendement de FrĂ©dĂ©rique Tuffnell Modem-Charente-Maritime est venu "recentrer le contenu de la stratĂ©gie nationale des aires protĂ©gĂ©es, sur une base plus en phase avec la dĂ©finition de l’Union internationale de la conservation de la nature" et a prĂ©vu d'y intĂ©grer "l’indispensable lien avec la lutte contre le dĂ©rĂšglement climatique". Maina Sage Agir-Ensemble-PolynĂ©sie a obtenu que l’État encourage le dĂ©ploiement de mĂ©thodes et de projets donnant lieu Ă  l’attribution de crĂ©dits carbone au titre du label bas-carbone en faveur des aires marines protĂ©gĂ©es de l’ensemble de la zone Ă©conomique exclusive française, situĂ©e notamment outre-mer. "La France pourrait rĂ©ellement ĂȘtre leader demain en matiĂšre de carbone bleu, a soutenu la dĂ©putĂ©e de PolynĂ©sie. Parce qu’elle possĂšde le deuxiĂšme domaine maritime mondial, elle doit montrer l’exemple en menant des stratĂ©gies cohĂ©rentes, qui fixent des obligations et encouragent le dĂ©veloppement de projets dotĂ©s de moyens suffisants." Gestionnaires d'espaces naturels protĂ©gĂ©s et parcelles boisĂ©es art. 56 bis A nouveau Les dĂ©putĂ©s ont adoptĂ© un amendement de Jimmy Pahun Modem-Morbihan crĂ©ant un nouvel article qui vise Ă  exempter les gestionnaires d’espaces naturels protĂ©gĂ©s du droit de prĂ©fĂ©rence bĂ©nĂ©ficiant aux propriĂ©taires d’une parcelle boisĂ©e en cas de vente d’une parcelle contiguĂ« infĂ©rieure Ă  quatre hectares – un droit prĂ©vu par l’article L. 331-19 du code forestier. "Compte tenu du rĂŽle jouĂ© par les bois et forĂȘts dans la lutte contre le rĂ©chauffement climatique, il est important que leurs gestionnaires puissent les acquĂ©rir pour en assurer la gestion Ă©cologique, a fait valoir le dĂ©putĂ©. Les gestionnaires visĂ©s sont le Conservatoire du littoral et les conservatoires d’espaces naturels, qui engagent des actions fonciĂšres en faveur de l’environnement." Parcs naturels rĂ©gionaux art. 56 ter nouveau Un amendement de Julien Aubert LR et d'autres amendements identiques ont prĂ©vu la prolongation jusqu'Ă  dĂ©cembre 2024 des dĂ©crets de classement des parcs naturels rĂ©gionaux dont la procĂ©dure de rĂ©vision a Ă©tĂ© affectĂ©e par la crise sanitaire. Cela "permettrait d’inclure un trĂšs grand nombre de parcs naturels rĂ©gionaux qui risqueraient d’ĂȘtre dĂ©classĂ©s" a fait valoir le dĂ©putĂ© du Vaucluse. Initialement, le gouvernement avait prĂ©vu de les prolonger de six mois, dĂ©lai jugĂ© insuffisant car un seul parc aurait pu bĂ©nĂ©ficier pleinement de la mesure selon Julien Aubert. Philanthropie fonciĂšre art. 57 bis A nouveau Trois amendements identiques dont l'un dĂ©fendu par Jimmy Pahun visent Ă  encourager la philanthropie fonciĂšre "pour participer Ă  l’atteinte des objectifs fixĂ©s par la stratĂ©gie nationale pour les aires protĂ©gĂ©es, Ă  savoir 30% du territoire national sous protection, dont 10% sous protection forte". Ils proposent d’exempter du droit de prĂ©emption des sociĂ©tĂ©s d’amĂ©nagement foncier et d’établissement rural Safer les donations au profit des personnes morales reconnues d’utilitĂ© publique et dont l’objet principal est la protection de la biodiversitĂ©. PrĂ©servation des chemins ruraux art. 57 ter nouveau Les dĂ©putĂ©s ont prĂ©cisĂ© les dispositions votĂ©es en commission en adoptant un amendement de Jean-Pierre Cubertafon Modem-Dordogne qui vise Ă  permettre aux associations "loi de 1901" d’entretenir un chemin rural au mĂȘme titre qu’une association syndicale de riverains. Les communes pourront ainsi dĂ©lĂ©guer Ă  des associations l’entretien d’un chemin rural. Une convention conclue entre les deux parties encadrera cette dĂ©lĂ©gation, indique le texte. Adapter les territoires aux effets du dĂ©rĂšglement climatique chapitre V Ventes ou locations de biens dans des zones Ă  risques technologiques ou naturels art. 58 A nouveau "En cas de mise en vente de tout ou partie d’un immeuble, l’état des risques est remis Ă  l’acquĂ©reur potentiel par le vendeur lors de la premiĂšre visite de l’immeuble, si une telle visite a lieu. Par ailleurs, le moyen d’accĂ©der Ă  l’état des risques est publiĂ© dĂšs l’annonce de la vente, de maniĂšre Ă  ce que l’acquĂ©reur potentiel soit informĂ© le plus en amont possible de la future transaction, comme c’est le cas pour les diagnostics de performance Ă©nergĂ©tique", prĂ©voit dĂ©sormais le texte aprĂšs l'adoption d'un amendement de StĂ©phane Buchou LREM, VendĂ©e et de plusieurs dĂ©putĂ©s de son groupe. La lecture des annonces renverra Ă  des sites spĂ©cialisĂ©s comme GĂ©orisques. La mĂȘme dĂ©marche est appliquĂ©e aux locations. Conseil national de la mer et des littoraux art. 58 BA nouveau Les dĂ©putĂ©s ont votĂ© un amendement de Sophie Panonacle LREM, Gironde, sous-amendĂ© par le gouvernement, visant Ă  intĂ©grer les dispositions concernant le Conseil national de la mer et des littoraux dans le code de l’environnement. Reprenant Ă  droit constant le pĂ©rimĂštre du Conseil national de la mer et des littoraux, celui-ci est notamment chargĂ© de "dĂ©fini[r] les objectifs et [de] prĂ©cise[r] les actions qu’il juge nĂ©cessaires pour l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur de la mer et des littoraux, dans une perspective de gestion intĂ©grĂ©e des zones cĂŽtiĂšres". Liste des communes subissant l’érosion du trait de cĂŽte art. 58 B nouveau Un amendement portĂ© par StĂ©phane Buchou propose que le ComitĂ© national de suivi et de gestion intĂ©grĂ©e du trait de cĂŽte, transformĂ© en ComitĂ© national du trait de cĂŽte, soit saisi pour avis pour Ă©tablir la liste des communes "dont l’action en matiĂšre d’urbanisme et la politique d’amĂ©nagement doivent ĂȘtre adaptĂ©es aux phĂ©nomĂšnes hydrosĂ©dimentaires entraĂźnant l’érosion du littoral". FixĂ©e par dĂ©cret, cette liste sera rĂ©visĂ©e au moins tous les neuf ans, selon cet article. Bail rĂ©el immobilier de longue durĂ©e art. 58 Deux amendements de StĂ©phane Buchou sont venus "prĂ©ciser et graver dans le marbre" le calendrier de mise en application des dispositions prĂ©vues Ă  l’article 58 sur le nouveau rĂ©gime de contrat de bail rĂ©el immobilier de longue durĂ©e, "par lequel un bailleur consent Ă  un preneur des droits rĂ©els, en contrepartie d’une redevance fonciĂšre, en vue d’occuper [
] des installations, ouvrages et bĂątiments situĂ©s dans des zones exposĂ©es au recul du trait de cĂŽte ou Ă  des risques naturels aggravĂ©s par le changement climatique". Le gouvernement devra publier une ordonnance "obligatoirement au plus tard neuf mois Ă  compter de la date de promulgation de la loi" et dĂ©poser un projet de loi de ratification obligatoirement "au plus tard trois mois Ă  compter de la date de publication de l’ordonnance". StratĂ©gies locales de gestion intĂ©grĂ©e du trait de cĂŽte art. 58 Les stratĂ©gies locales de gestion intĂ©grĂ©e du trait de cĂŽte sont intĂ©grĂ©es aux Ă©lĂ©ments Ă  prendre en compte pour "dĂ©finir ou adapter les outils d’amĂ©nagement foncier et de maĂźtrise fonciĂšre nĂ©cessaires Ă  l’adaptation des territoires exposĂ©s au recul du trait de cĂŽte", selon un amendement de Sophie Panonacle. Usage des drones pour la cartographie du littoral art. 58 bis nouveau "Afin de pouvoir mener correctement les travaux de cartographie du littoral mais aussi de disposer de meilleures connaissances sur les phĂ©nomĂšnes naturels en cours qui sont susceptibles d’avoir un impact sur les zones Ă  enjeux et de contribuer Ă  l’élaboration de l’information acquĂ©reur locataire dĂ©finie Ă  l’article du code de l’environnement", le gouvernement a introduit un amendement permettant l’usage de drones, "dans un cadre toutefois rigoureux s’agissant de l’usage des donnĂ©es qui sera opĂ©rĂ©" et qui sera prĂ©cisĂ© par un dĂ©cret en Conseil d’État.
LeSĂ©nat a adoptĂ© le 26 octobre, en premiĂšre lecture, le projet de loi sur les indĂ©pendants, aprĂšs l’avoir amendĂ©. Il a notamment retouchĂ© l’article phare crĂ©ant un statut unique pour l’entrepreneur individuel. Les sĂ©nateurs craignent que les indĂ©pendants devront renoncer en pratique Ă  la protection de leur patrimoine personnel

L’objectif lever les obstacles Ă  leur rĂ©novation, rĂ©guliĂšrement soulevĂ©s par les Ă©lus locaux dans leurs Ă©changes avec le ministre. L’enjeu est notamment de ne pas laisser se dĂ©grader un patrimoine pour des raisons de procĂ©dures. SĂ©bastien Lecornu explique Les JournĂ©es du patrimoine nous rappellent chaque annĂ©e Ă  quel point les Français sont attachĂ©s Ă  leur patrimoine local. Il est intimement liĂ© Ă  l’identitĂ© de nos communes, auxquelles nous sommes attachĂ©s. Pour cela, il Ă©tait essentiel de redonner aux maires plus de souplesse et de bon sens dans le financement de leur rĂ©novation. ». Ces Ă©difices hors normes hĂ©ritĂ©s de notre histoire nationale dĂ©passent les capacitĂ©s des communes d’aujourd’hui alors que nous les devons aux gĂ©nĂ©rations futures. La mission StĂ©phane Bern a ainsi identifiĂ© 500 monuments patrimoine religieux, chĂąteaux, patrimoine agricole, artisanal ou industriel, maisons ou hĂŽtels particuliers, patrimoine liĂ© Ă  l’eau, patrimoine militaire,
 en pĂ©ril et propriĂ©tĂ©s d’une collectivitĂ© locale. Actuellement, la commune a pour obligation de financer a minima 20 % des travaux de rĂ©novation pour tout bĂątiment relevant du patrimoine local. Les communes rurales, sans fonds propres suffisants pour financer ce type d’opĂ©rations, hĂ©sitent alors souvent Ă  s’endetter et retardent les chantiers. Le projet de loi Engagement et ProximitĂ© prĂ©voit qu’en cas d’urgence pour les travaux liĂ©s au patrimoine, classĂ© ou non, le prĂ©fet pourra apporter une dĂ©rogation Ă  la rĂšgle des 20%, lorsqu’il l’estime justifiĂ© par l’urgence ou par la nĂ©cessitĂ© publique, ou lorsqu’il estime que la participation minimale est disproportionnĂ©e au vu de la capacitĂ© financiĂšre du maĂźtre d’ouvrage la commune pourra financer l’opĂ©ration jusqu’à 100 % par des subventions. L’article 21 du projet de loi modifiera en ce sens le code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales. Cette dĂ©rogation, qui Ă©tait dĂ©jĂ  possible pour les monuments classĂ©s, sera ainsi Ă©tendue au patrimoine non protĂ©gĂ©, qui constitue en grande partie le patrimoine des communes rurales.

Laloi pour la confiance dans l'Ă©conomie numĂ©rique est proche de sa version dĂ©finitive. Les SĂ©nateurs n'ont pas chamboulĂ© l'esprit de la loi, mĂȘme si certaines retouches risquent de faire du
Par la rĂ©daction, le 26 janvier 2016. - PUBLICITÉ - - PUBLICITÉ -Aux yeux des sĂ©nateurs, le projet de loi s'Ă©tait dispersĂ©. Son passage en commission puis en premiĂšre lecture a conduit Ă  un recentrage du texte sur ses vĂ©ritables enjeux », rĂ©sume JĂ©rĂŽme Bignon, sĂ©nateur de la Somme et rapporteur du projet de loi au SĂ©nat. Pour ne pas l'alourdir, plusieurs articles ont Ă©tĂ© adoptĂ©s sans modification et des amendements vite rejetĂ©s. Deux exemples. Lors de la premiĂšre journĂ©e d'examen, ceux des sĂ©nateurs socialiste Roland Courteau Aude et Ă©cologiste Ronan Dantec Loire Atlantique, qui insistaient sur l'enjeu de protection des sols, ont Ă©tĂ© retoquĂ©s. La ministre de l’Écologie SĂ©golĂšne Royal a soulignĂ© qu'une stratĂ©gie nationale des sols Ă©tait en cours et s'en chargerait. PrĂ©judice Ă©cologique La discussion a conduit Ă  Ă©vacuer toute mention au principe, jugĂ© complexe, de non-rĂ©gression Ă©cologique. Quant Ă  celle de prĂ©judice Ă©cologique, qui a refait surface dans ce projet de loi en vue d'ĂȘtre introduite dans le code civil voir notre article dans l'Ă©dition du 21 janvier 2016, elle n'a donnĂ© lieu qu'Ă  une seule retouche, qui conforte l’apprĂ©ciation du juge en la matiĂšre. Paysages nocturnes Est en revanche glissĂ©, Ă  l'article 3, un nouvel objectif de sauvegarde de l’environnement nocturne », qui satisfait les dĂ©fenseurs d'une biodiversitĂ© nocturne bien souvent impactĂ©e par un Ă©clairage excessif ou mal rĂ©glĂ©. Autre nouveautĂ© l'inventaire national du patrimoine naturel gĂ©rĂ© par le MusĂ©um national d’histoire naturelle MNHN va monter en puissance. Et s'ouvre un peu plus, via l'open data, Ă  d'autres contributeurs que les chercheurs, notamment aux collectivitĂ©s et maĂźtres d’ouvrage, amenĂ©s Ă  l'alimenter lorsqu'ils disposent de donnĂ©es collectĂ©es Ă  la suite d'Ă©tudes d’impact. Une AFB en rĂ©seau La non-intĂ©gration dans l'AFB de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage ONCFS sera compensĂ©e, aux yeux du gouvernement, par la forte logique de rĂ©seau » du futur Ă©tablissement. Il tressera avec l'ONCFS des partenariats mais aussi avec l’Ifremer, le MNHN, etc. Et coopĂ©rera par le biais de conventions avec les agences de l’eau. Je crois beaucoup Ă  l'efficacitĂ© de ce mode de contractualisation », appuie la ministre. Un amendement du gouvernement a en ce sens Ă©tĂ© adoptĂ©, relatif aux liens qu’entretiendra l’AFB avec les collectivitĂ©s rĂ©gionales. L'agence n'aura pas comme l'Ademe des dĂ©lĂ©gations territoriales. Mais pourra mettre en place Ă  la demande des rĂ©gions des organismes de collaboration pĂ©renne avec celles-ci ». Protocole de Nagoya Le 21 janvier, lors de l'examen du titre IV sur l'accĂšs aux ressources gĂ©nĂ©tiques et le partage Ă©quitable des avantages, les sĂ©nateurs ont autorisĂ© Ă  la quasi-unanimitĂ© la France Ă  ratifier le protocole de Nagoya, qu'elle a signĂ© en 2011. Le titre V sur les espaces naturels et la protection des espĂšces a aussi fait dĂ©bat. Fruit d'un long combat, l'amendement de la sĂ©natrice de la Seine-Saint-Denis Aline Archimbaud augmentant la taxation de l'huile de palme a Ă©tĂ© adoptĂ©. Et des prĂ©cisions ont Ă©tĂ© apportĂ©es en matiĂšre de concertation des partenaires lorsque sont Ă©laborĂ©es des chartes de parcs naturels rĂ©gionaux PNR. La taxe Gemapi Le volet milieux aquatiques est aussi enrichi. Un amendement portĂ© par le sĂ©nateur Ă©cologiste du Morbihan JoĂ«l LabbĂ© facilitera la mise en Ɠuvre du droit de prĂ©emption des agences de l'eau par le biais des Safer ». Lesquelles mettront Ă  la disposition des agences leur savoir-faire d'opĂ©rateur foncier », en vue de rendre plus effective leur mission de protection des zones humides ». Concernant la crĂ©ation de la compĂ©tence de gestion des milieux aquatiques et prĂ©vention des inondations Gemapi, le texte a Ă©tĂ© retouchĂ© pour permettre aux communes et aux EPCI de lever la taxe Gemapi ». Compensation Ă©cologique Sur ce sujet controversĂ©, il a Ă©tĂ© actĂ© que l'Agence française pour la biodiversitĂ© rĂ©aliserait un inventaire national des espaces naturels appartenant Ă  des personnes morales de droit public et susceptibles d'ĂȘtre mobilisĂ©s pour la mise en Ɠuvre des mesures de compensation. La prise en compte de la biodiversitĂ© urbaine dans les plans climat air Ă©nergie territoriaux est confortĂ©e. Dans le texte transparaĂźt aussi clairement la nĂ©cessaire d'insertion dans les documents d'urbanisme d'une rĂ©fĂ©rence Ă  la permaculture. Protection des espĂšces Les sĂ©nateurs Ă©cologistes sont satisfaits des rĂ©elles avancĂ©es » du texte en termes de protection des espĂšces les plus menacĂ©es. Celles inscrites sur la liste rouge mondiale de l'Union internationale pour la conservation de la nature feront l'objet de plans d'actions ou de mesures de protection. WWF France a pour sa part saluĂ© la meilleure reprĂ©sentation de l’Outre-mer dans les diffĂ©rentes instances de gouvernance de la biodiversitĂ©, notamment au conseil d’administration de l’AFB ». Actions de groupe Rien de neuf sur la pĂȘche au chalutage en eaux profondes et la pratique de la chasse. Des Ă©volutions sont apportĂ©es pour la gestion du littoral. Important un amendement socialiste rend possible les actions de groupe pour les dommages environnementaux. La suppression des produits phytosanitaires de la famille des nĂ©onicotinoĂŻdes n'a pas Ă©tĂ© actĂ©e. Une dĂ©ception pour les associations dont France Nature Environnement et la LPO, qui regrettent par ailleurs qu'aucun progrĂšs n’ait Ă©tĂ© apportĂ© au sujet des zones prioritaires pour la biodiversitĂ©. DerniĂšre avancĂ©e pour favoriser la reconversion d'anciens sites industriels, l’accĂšs au dispositif du tiers demandeur » est dossier lĂ©gislatif sur le site du SĂ©nat
ProgrammeNickelodeon Junior du lundi 05 septembre 2022. Dora 23mn - Série d'animation Dora et Babouche se rendent à l'atelier d'artiste de Daniela pour l'aider à terminer une grande

Ű§Ù„Ű«Ù„Ű§Ű«Ű§ŰĄŰŒ 17 Ù…Ű§Ű±Űł 2015 Les dĂ©putĂ©s apportent les premiĂšres retouches au projet de loi sur la biodiversitĂ© Les six premiers articles du projet de loi sur la biodiversitĂ© ont Ă©tĂ© votĂ©s et 23 amendements Le - ActualitĂ© Ă  la Une IFTTT Ù…Ű±ŰłÙ„Ű© ŰšÙˆŰ§ŰłŰ·Ű© Unknown في 1252 Ű” Ű§Ù„ŰȘŰłÙ…ÙŠŰ§ŰȘ IFTTT, Le - ActualitĂ© Ă  la Une Ù„ÙŠŰłŰȘ Ù‡Ù†Ű§Ùƒ ŰȘŰčÙ„ÙŠÙ‚Ű§ŰȘ Ű„Ű±ŰłŰ§Ù„ ŰȘŰčليق Ű±ŰłŰ§Ù„Ű© ŰŁŰ­ŰŻŰ« Ű±ŰłŰ§Ù„Ű© ŰŁÙ‚ŰŻÙ… Ű§Ù„Ű”ÙŰ­Ű© Ű§Ù„Ű±ŰŠÙŠŰłÙŠŰ© Ű§Ù„Ű§ŰŽŰȘŰ±Ű§Ùƒ في ŰȘŰčÙ„ÙŠÙ‚Ű§ŰȘ Ű§Ù„Ű±ŰłŰ§Ù„Ű© Atom

Legouvernement a Ă©galement fait revoter l’article 4 du projet de loi pour rĂ©tablir un amendement Ă©cologiste portant sur la mise Ă  disposition de baux ruraux Ă  des personnes morales. Mardi
Vous ĂȘtes dans Accueil > Tribunes libres > Par Me Emmanuelle Peletingeas, MARDI 28 MAI 2019 Le projet de loi relatif Ă  l'organisation et Ă  la transformation du systĂšme de santĂ© a fait l’objet d’une procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e engagĂ©e le 13 fĂ©vrier 2019 par le Gouvernement. AdoptĂ© le 26 mars 2019 par l’AssemblĂ©e nationale, le texte a Ă©tĂ© transmis au SĂ©nat en 1Ăšre lecture, et Ă  sa commission des affaires sociales, laquelle a arrĂȘtĂ© la version qui sera discutĂ©e en sĂ©ance publique Ă  partir du 3 juin les sĂ©nateurs y ont apportĂ© des modifications, notamment sur l’ouverture de l’espace numĂ©rique personnel et l’interopĂ©rabilitĂ© des logiciels, ils n’en ont pas franchement bousculĂ© la teneur. S’agissant du volet numĂ©rique, les sĂ©nateurs ont, Ă  l’occasion de l’examen en commission, Ă©tendu l’ouverture du dossier mĂ©dical partagĂ© DMP et de l’espace numĂ©rique de santĂ© ENS aux personnes non dĂ©tentrices d’un identifiant national de santĂ©, en particulier les personnes bĂ©nĂ©ficiaires de l’aide mĂ©dicale d’État. Sur cet ENS, et dans la perspective de dĂ©cloisonner les mondes mĂ©dico-social et de la santĂ©, les sĂ©nateurs ont Ă©galement jugĂ© bon, “pour rendre opĂ©rationnelle la transversalitĂ© des Ă©lĂ©ments de parcours d’un assurĂ©â€, de permettre Ă  ce dernier de pouvoir y disposer dans une rubrique Ă  part de donnĂ©es liĂ©es Ă  l’accompagnement social et mĂ©dico-social. En ce qui concerne l’interopĂ©rabilitĂ©, le rapporteur du texte a considĂ©rĂ© qu’il s’agissait d’“un enjeu crucial si nous ne voulons pas prendre encore dix ans de retard”. C’est la raison pour laquelle les sĂ©nateurs ont ainsi adoptĂ© un amendement visant “à prĂ©ciser le cadre lĂ©gislatif de l’interopĂ©rabilitĂ© dans le numĂ©rique en santĂ©â€. L’exposĂ© des motifs est notamment libellĂ© de la façon suivante Le dĂ©faut d'interopĂ©rabilitĂ© des logiciels, services et outils numĂ©riques en santĂ© constitue le principal obstacle Ă  la transformation numĂ©rique de notre systĂšme de soins. À titre d'exemple, rien ne garantit qu'un patient suivi par des mĂ©decins utilisant le portail "Paaco/Globules" en Nouvelle Aquitaine puisse voir les donnĂ©es de son parcours de soins pleinement transfĂ©rables et exploitables s'il venait Ă  rĂ©sider en Île-de-France et ĂȘtre traitĂ© par un mĂ©decin ou un Ă©tablissement utilisant la plateforme "Terr-eSantĂ©". La coordination des soins s'en trouve sĂ©rieusement entravĂ©e, au dĂ©triment du patient comme de la qualitĂ© de l'exercice des professionnels ». C’est ainsi que le rapport propose, en premier lieu, d’inscrire une dĂ©finition lĂ©gale de l’interopĂ©rabilitĂ© dans le code de la santĂ© publique, ajoutant que les Ă©diteurs devront privilĂ©gier, chaque fois que possible, le recours aux standards ouverts afin que les systĂšmes d'information utilisĂ©s dans le secteur public de la santĂ© ne soient plus prisonniers des formats propriĂ©taires pour lesquels les dĂ©veloppeurs ont encore tendance Ă  garder jalousement les spĂ©cifications de leurs logiciels secrĂštes ». Le rapport propose, en second lieu, “dans une logique incitative”, de crĂ©er une certification de conformitĂ© des logiciels aux rĂ©fĂ©rentiels d’interopĂ©rabilitĂ© et de sĂ©curitĂ© par des organismes de certification privĂ©s dument accrĂ©ditĂ©s par le comitĂ© français d'accrĂ©ditation. Les Ă©diteurs pourront solliciter cette certification sur une base volontaire et pour une mise en application diffĂ©rĂ©e au maximum de deux ans. L’obtention de cette certification pour un logiciel donnĂ© par les Ă©diteurs conditionnerait ensuite l’octroi de fonds publics pour l’acquisition du logiciel en question, Ă  travers des programmes de soutien comme le fonds rĂ©gional d’intervention FIR, les plans “HĂŽpital numĂ©rique” HOP’EN, “e-parcours” ou l’IFAQ. Les Ă©tablissements de santĂ© seraient donc incitĂ©s Ă  privilĂ©gier des logiciels conformes aux exigences d’interopĂ©rabilitĂ©, et les Ă©diteurs de logiciels Ă  rechercher cette conformitĂ© pour mieux vendre leurs produits. L'auteur Me Emmanuelle Peletingeas Selarl YAHIA Avocats Barreau de Paris numĂ©riquelogicielspatientlogicielnational Les plus lus 1 semainesem 1 mois 1 an
Leprojet de loi a Ă©tĂ© adoptĂ© par 41 voix contre 11. Il revient ainsi Ă  la Chambre des reprĂ©sentants pour une deuxiĂšme lecture programmĂ©e lundi 14 juin en commission de l’IntĂ©rieur, des collectivitĂ©s territoriales, de l’habitat et de la politique de la ville.. Douze amendements Ă©manant du groupe haraki ont Ă©tĂ© approuvĂ©s. PubliĂ© le 6 janvier 2014 AmĂ©nagement et foncier, urbanisme, Organisation territoriale, Ă©lus et institutions, Logement, Environnement, Energie Outre les nouveaux changements apportĂ©s au plan local d'urbanisme intercommunal PLUi, les dĂ©putĂ©s de la commission des affaires Ă©conomiques sont revenus en deuxiĂšme lecture sur de nombreuses dispositions du volet urbanisme du projet de loi pour l'accĂšs au logement et un urbanisme rĂ©novĂ© AlurvotĂ©es par le SĂ©nat. RĂ©capitulatif des modifications apportĂ©es au texte avant son examen en sĂ©ance en deuxiĂšme lecture Ă  l'AssemblĂ©e Ă  partir du 14 janvier. A l'issue de leur examen en deuxiĂšme lecture du volet urbanisme du projet de loi pour l'accĂšs au logement et un urbanisme rĂ©novĂ© Alur, le 18 dĂ©cembre dernier, les dĂ©putĂ©s de la commission des affaires Ă©conomiques sont revenus sur de nombreuses dispositions votĂ©es au SĂ©nat en premiĂšre lecture. Si le changement le plus marquant a concernĂ© l'article 63 concernant le plan local d'urbanisme intercommunal PLUi, qui prĂ©voit dĂ©sormais un transfert obligatoire de la compĂ©tence PLU Ă  l'intercommunalitĂ© sauf en cas d'opposition d'une majoritĂ© qualifiĂ©e des communes lire ci-contre notre article du 20 dĂ©cembre 2013, d'autres modifications non nĂ©gligeables ont Ă©tĂ© apportĂ©es aux articles relatifs aux documents de planification. Revue de dĂ©tail de ces nouveaux changements, avant l'examen en sĂ©ance du texte Ă  partir du 14 janvier. Mesures relatives au Scot Les dĂ©putĂ©s ont votĂ© plusieurs amendements Ă  l'article 58, qui vise Ă  renforcer la planification stratĂ©gique et le rĂŽle intĂ©grateur du schĂ©ma de cohĂ©rence territoriale Scot. Ils ont d'abord dĂ©cidĂ© d'aligner les rĂ©gimes de mise en compatibilitĂ© et de retenir, pour la mise en compatibilitĂ© des PLU avec le Scot, la date d'approbation et non celle oĂč le document devient exĂ©cutoire. Ils ont aussi assoupli le plafond pouvant ĂȘtre fixĂ© par le Scot concernant les surfaces de stationnement annexes de commerces. Ainsi, ces surfaces ne peuvent "excĂ©der un plafond, dĂ©fini par le PLU [plan local d'urbanisme, ndlr] et compris entre les trois quarts et la totalitĂ©" de la surface de plancher des bĂątiments affectĂ©s au commerce. "Il s'agit ici de concilier une rationalisation des surfaces de stationnement et la prise en compte des impĂ©ratifs des commerces et de la difficultĂ© de fixer un plafond trop bas", a expliquĂ© la rapporteure Audrey Linkenheld SRC, Nord, dans son amendement. Ce plafond Ă©tait prĂ©cĂ©demment fixĂ© aux "trois quarts" de la surface plancher. En outre, sur proposition de François Brottes SRC, IsĂšre, les dĂ©putĂ©s ont exclu les surfaces rĂ©servĂ©es Ă  l'autopartage du calcul de l'emprise au sol des surfaces de stationnement, et ce "afin d'encourager la mutualisation des transports". Ils ont en outre prĂ©cisĂ© que "la surface des places de stationnement non impermĂ©abilisĂ©es compte pour la moitiĂ© de [la] surface [des parkings de centre commerciaux]", et que l'ensemble de "ces dispositions s'appliquent aux bĂątiments dont le permis de construire a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© Ă  compter du 1er janvier 2016". Par ailleurs, un amendement des Ă©cologistes MichĂšle Bonneton IsĂšre et Brigitte Allain Dordogne est venu "prĂ©ciser que le Padd [projet d'amĂ©nagement et de dĂ©veloppement durable, ndlr] du Scot fixe des objectifs de qualitĂ© paysagĂšre". Il est complĂ©mentaire d'un autre amendement de ces dĂ©putĂ©es visant Ă  permettre au document d'orientation et d'objectifs DOO du Scot de prĂ©ciser ces mĂȘmes objectifs. Sur proposition de François Brottes, les dĂ©putĂ©s ont aussi insĂ©rĂ© six nouveaux alinĂ©as Ă  l'article 58, réécrivant ainsi l'article L. 122-1-9 du Code de l'urbanisme, relatif au contenu du DOO en matiĂšre d'Ă©quipement commercial et artisanal. Les dĂ©putĂ©s avaient dĂ©jĂ  adoptĂ© un amendement similaire en premiĂšre lecture, par la suite supprimĂ© par les sĂ©nateurs en commission. "Il apparaĂźt impĂ©ratif de renforcer la planification Ă  la bonne Ă©chelle pour construire l'armature commerciale des territoires qui repose essentiellement sur le Scot, et Ă  dĂ©faut le PLUi", a fait valoir le dĂ©putĂ© dans son exposĂ© des motifs. Il a donc proposĂ© de "renforcer le Scot en la matiĂšre en ne limitant pas la fixation de conditions aux seules implantations commerciales situĂ©es dans les localisations prĂ©fĂ©rentielles, mais sur l'ensemble du territoire du Scot". "En consĂ©quence les autorisations accordĂ©es aux projets commerciaux devront ĂȘtre compatibles avec les orientations du Scot et tenir compte des conditions d'implantation qu'il fixe", a-t-il expliquĂ©. En revanche, les autres dispositions sur l'urbanisme commercial introduites par les dĂ©putĂ©s et supprimĂ©es par les sĂ©nateurs n'ont pas Ă©tĂ© rĂ©tablies. Concernant le pĂ©rimĂštre du Scot, un amendement a rĂ©tabli une disposition supprimĂ©e par les sĂ©nateurs visant Ă  "Ă©viter une superposition des pĂ©rimĂštres des Scot et des EPCI et [Ă ] conforter le rĂŽle prospectif des Scot nĂ©cessitant une Ă©chelle d'Ă©laboration dĂ©passant le seul EPCI". En l'occurrence, "il ne peut ĂȘtre arrĂȘtĂ© de pĂ©rimĂštre de schĂ©ma de cohĂ©rence territoriale correspondant au pĂ©rimĂštre d'un seul Ă©tablissement public de coopĂ©ration intercommunale Ă  compter du 1er juillet 2014 ". Toujours Ă  l'article 58, un amendement prĂ©voit que le schĂ©ma rĂ©gional des carriĂšres soit notamment soumis Ă  l'avis "des prĂ©fets de rĂ©gion des autres rĂ©gions identifiĂ©es comme consommatrices de granulats ou de substances d'intĂ©rĂȘt rĂ©gional ou national extraits dans la rĂ©gion". Un autre amendement prĂ©voit des dispositions transitoires pour les schĂ©mas dĂ©partementaux des carriĂšres, qui doivent, selon le projet de loi, disparaĂźtre au profit du schĂ©ma rĂ©gional des carriĂšres. Ainsi, l'adoption de ce schĂ©ma rĂ©gional devra au plus tard intervenir dans un dĂ©lai de cinq ans Ă  compter du 1er janvier suivant la date de publication de la loi, sauf en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, Ă  la RĂ©union, Ă  Mayotte, Ă  Saint-Martin et Ă  Saint- Pierre-et-Miquelon, oĂč ce dĂ©lai est portĂ© Ă  dix ans. Un autre amendement vise Ă  faire porter uniquement sur le propriĂ©taire du site d'implantation bĂ©nĂ©ficiant de l'autorisation d'exploitation commerciale l'obligation de dĂ©mantĂšlement et de la remise en Ă©tat des terrains d'assiette, plutĂŽt que de la faire porter conjointement par le titulaire de l'autorisation d'exploitation commerciale et le propriĂ©taire, explique l'exposĂ© des motifs. Retouches sur le PLU et le PLUi Plusieurs autres articles ont aussi Ă©tĂ© retouchĂ©s. Les dĂ©putĂ©s ont ainsi rĂ©tabli, sur proposition des socialistes, l'article 58 ter, instaurant la dĂ©marche d'inter-Scot, supprimĂ© par les sĂ©nateurs en commission. Ils ont aussi modifiĂ© la rĂ©daction de l'article 64 concernant la modernisation du PLUi. Un amendement vise ainsi Ă  permettre "Ă  tout EPCI volontaire qui est autoritĂ© organisatrice des transports d'intĂ©grer, s'il le souhaite, le PDU dans son PLUi". Ils ont aussi prĂ©cisĂ© le contenu du PLU tenant lieu de PLH ou de PDU "S'agissant des dispositions habitat ou transports et dĂ©placements figurant dans les OAP orientations d'amĂ©nagement et programmations, il est prĂ©vu, dans une logique de souplesse, qu'elles ont un caractĂšre facultatif lorsque la communautĂ© de communes comprend moins de habitants ou que l'EPCI n'est pas soumis Ă  l'obligation d'Ă©laborer un PDU en application du code des transports", indique l'exposĂ© des motifs de l'amendement prĂ©sentĂ© par la rapporteure. "L'objectif est en en effet de permettre aux communautĂ©s de petite taille et volontaires pour intĂ©grer dans un mĂȘme document les problĂ©matiques liĂ©es de l'urbanisme, des dĂ©placements et de l'habitat, d'adapter le contenu de leur document et de n'Ă©laborer ces OAP que lorsqu'elles estiment que les caractĂ©ristiques et enjeux du territoire, les besoins et le contexte local le justifient." "Afin de favoriser la mixitĂ© des fonctions par l'intĂ©gration de commerces dans les projets urbains d'envergure, en particulier en centre urbain", un autre amendement a Ă©galement proposĂ© que "les auteurs de PLU puissent orienter les amĂ©nageurs en prĂ©voyant qu'un pourcentage des programmes de logement comprennent des commerces". Par un autre amendement, ils ont dĂ©cidĂ© de ne pas exclure les communautĂ©s urbaines d'une disposition prĂ©voyant que "la dĂ©libĂ©ration prescrivant l'Ă©laboration d'un PLU organise la tenue d'un dĂ©bat sur les modalitĂ©s de la collaboration entre l'EPCI compĂ©tent et ses communes membres", contrairement Ă  ce qu'avait votĂ© le SĂ©nat. Un autre amendement prĂ©cise que "ce dĂ©bat peut prendre la forme d'une confĂ©rence intercommunale rĂ©unissant, Ă  l'initiative du prĂ©sident de l'EPCI, l'ensemble des maires des communes membres". Pour "tenir compte du caractĂšre dĂ©sormais facultatif des dispositions tenant lieu de PLH", un autre amendement a prĂ©cisĂ© que sont dĂ©sormais soumis pour avis au comitĂ© rĂ©gional de l'habitat CRH "uniquement les projets de PLU tenant lieu de PLH, et non plus tout projet de PLU intercommunal". Les dĂ©putĂ©s sont revenus Ă  la rĂ©daction votĂ©e en premiĂšre lecture Ă  l'AssemblĂ©e nationale en ce qui concerne la disposition relative aux avis dĂ©favorables sur les orientions d'amĂ©nagement et de programmation OAP les communautĂ©s urbaines y sont rĂ©intĂ©grĂ©es, et la majoritĂ© requise pour arrĂȘter un projet de PLU est fixĂ©e aux deux tiers des suffrages exprimĂ©s contre trois quarts dans la version issue du SĂ©nat. Un amendement de Jean-Luc Laurent SRC, Val-de-Marne a introduit "l'obligation pour le prĂ©sident de l'intercommunalitĂ© de rĂ©unir les maires aprĂšs l'enquĂȘte publique et avant le vote du conseil communautaire pour adoption" du PLUi. Il prĂ©cise que "la majoritĂ© nĂ©cessaire Ă  l'adoption ou Ă  la rĂ©vision du PLUI au sein du conseil communautaire est portĂ©e Ă  deux tiers des membres du conseil intercommunal ". Un autre amendement Ă©tend l'analyse des rĂ©sultats du PLU Ă  un dĂ©lai de neuf ans contre six dans le projet de loi, "afin de laisser un temps suffisamment long avant de se prononcer sur l'opportunitĂ© de rĂ©viser ou non le plan et sur le sort des zones Ă  urbaniser". Les dĂ©putĂ©s ont supprimĂ© la disposition votĂ©e au SĂ©nat "prĂ©voyant que la dĂ©libĂ©ration suivant l'analyse des rĂ©sultats [
] se prononce sur l'opportunitĂ© du maintien ou de l'Ă©volution des zones Ă  urbaniser". Lutte contre l'Ă©talement urbain Au chapitre 3 du titre IV du texte, qui contient les dispositions visant Ă  lutter contre l'Ă©talement urbain et la consommation d'espaces naturels, agricoles et forestiers, les dĂ©putĂ©s de la commission des affaires Ă©conomiques ont aussi modifiĂ© l'article 65. Concernant tout d'abord le potentiel de densification Ă©tudiĂ© par le rapport de prĂ©sentation du Scot, un amendement revient Ă  la rĂ©daction de l'AssemblĂ©e en premiĂšre lecture. Un autre amendement vise Ă  "rĂ©tablir l'analyse de la capacitĂ© de densification dans les PLU". En complĂ©ment des amendements portant sur le Scot un autre amendement des Ă©cologistes vise "Ă  donner la possibilitĂ© et Ă  inviter les collectivitĂ©s territoriales Ă  dĂ©cliner Ă  l'Ă©chelle du PLU les objectifs de qualitĂ© paysagĂšre formulĂ©s dans les Scot dans le respect du principe de subsidiaritĂ© ". Un autre amendement entend rĂ©tablir la disposition votĂ©e par l'AssemblĂ©e nationale en premiĂšre lecture en ce qui concerne la procĂ©dure de rĂ©vision du PLU dans les zones Ă  urbaniser ouvertes depuis plus de neuf ans. Ce dĂ©lai avait Ă©tĂ© portĂ© Ă  douze ans par le SĂ©nat. Les dĂ©putĂ©s ont aussi supprimĂ© la notion, introduite par les sĂ©nateurs, de "coeur d'Ăźlot". Ils ont aussi prĂ©cisĂ©, sur proposition de Michel Piron UDI, Maine-et-Loire, que l'ouverture des zones Ă  l'urbanisation ne peut ĂȘtre conditionnĂ©e Ă  la seule capacitĂ© rĂ©siduelle des tissus existants mais doit tenir compte de "la faisabilitĂ© opĂ©rationnelle d'un projet dans ces zones". A l'article 66, qui supprime la possibilitĂ© de dĂ©rogation au principe de constructibilitĂ© limitĂ©e dans les communes non couvertes par un document d’urbanisme, les dĂ©putĂ©s ont votĂ© un amendement de François Brottes, dĂ©jĂ  adoptĂ© en premiĂšre lecture mais supprimĂ© par le SĂ©nat. Il prĂ©voit, dans le cas particulier des terrains en friche depuis plus de dix ans et rendant indispensable un projet d'urbanisme, qu'Ă  dĂ©faut d'avis de la commission dĂ©partementale de la consommation des espaces agricoles dans les deux mois suivant la saisine, cet avis est rĂ©putĂ© favorable. A l'initiative des Ă©cologistes MichĂšle Bonneton et Brigitte Allain, les dĂ©putĂ©s ont en outre supprimĂ© l'article 67 bis du texte qui avait Ă©tĂ© introduit par le SĂ©nat. Il permettait aux communes et intercommunalitĂ©s compĂ©tentes "de dĂ©finir librement, dans leur rĂšglement local de publicitĂ©, les rĂšgles encadrant l'affichage publicitaire sur les Ă©quipements sportifs ayant une capacitĂ© d'accueil d'au moins places". Mobilisation du foncier Au chapitre IV du titre IV, qui englobe les mesures destinĂ©es Ă  favoriser le dĂ©veloppement de l'offre de construction, un amendement Ă  l'article 68 est Ă©galement revenu Ă  la rĂ©daction de l'AssemblĂ©e concernant la crĂ©ation des Ă©tablissements publics fonciers EPF d'Etat et leur Ă©ventuelle superposition, totale ou partielle, avec des EPF locaux. Ainsi, cette superposition est "soumise Ă  l'accord des Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale Ă  fiscalitĂ© propre et des communes non membres de ces derniers dont le territoire est concernĂ© par la superposition". A l'article 70 modalitĂ©s relatives Ă  l’exercice du droit de prĂ©emption, les dĂ©putĂ©s ont apportĂ© trois modifications visant Ă  rĂ©tablir la version qu'ils avaient adoptĂ©e en premiĂšre lecture. Ainsi, la crĂ©ation d'une zone d'amĂ©nagement diffĂ©rĂ© ZAD par un EPCI n'est pas soumise Ă  l'avis conforme des communes. En revanche, "en cas d'avis dĂ©favorable d'une de ces communes, la zone d'amĂ©nagement diffĂ©rĂ© ne peut ĂȘtre créée que par arrĂȘtĂ© du reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement". Les dĂ©putĂ©s ont aussi supprimĂ© l'alinĂ©a 37 de l'article, qui avait Ă©tĂ© ajoutĂ© par les sĂ©nateurs, afin d'inclure dans la liste des biens soumis au rĂ©gime gĂ©nĂ©ral du droit de prĂ©emption, les cessions de parts de sociĂ©tĂ©s civiles immobiliĂšres SCI, y compris "les mutations de nue-propriĂ©tĂ©". A l'article 71 mesures de coordination relatives au droit de prĂ©emption les dĂ©putĂ©s ont adoptĂ© un amendement des socialistes accordant Ă©galement "le droit de prioritĂ© aux EPCI non titulaires du droit de prĂ©emption urbain, si l'objet de la prioritĂ© intervient dans le champ des compĂ©tences contenues dans ses statuts zone d'activitĂ© Ă©conomique, rĂ©serve de foncier pour assainissement, amĂ©nagement touristique
", et ce "Ă  titre expĂ©rimental" et "pendant une durĂ©e de trois ans Ă  compter de l'entrĂ©e en vigueur de la loi Alur", selon deux sous-amendements de François Brottes. A l'article 73 dispositions relatives au rĂšglement du plan local d'urbanisme, les dĂ©putĂ©s ont supprimĂ© le contrĂŽle a priori du reprĂ©sentant de l'Etat sur le projet de PLU, tel que le prĂ©voyait le texte, au motif qu'il "entre en contradiction avec la responsabilitĂ© donnĂ©e Ă  l'organe dĂ©libĂ©rant de l'EPCI ou au conseil municipal pour mener l'Ă©laboration ou la rĂ©vision de ce document". Ils ont Ă©galement supprimĂ© l'obligation de dĂ©limiter, dans le rĂšglement des plans locaux d'urbanisme, des secteurs au sein desquels les opĂ©rations d'amĂ©nagement devront comprendre obligatoirement un pourcentage de commerces. En outre, les constructions ou travaux avec isolations thermiques par l'extĂ©rieur peuvent justifier une dĂ©rogation aux rĂšgles "concernant l'aspect extĂ©rieur des constructions neuves, rĂ©novĂ©es ou rĂ©habilitĂ©es, leurs dimensions, leurs conditions d'alignement sur la voirie et de distance minimale par rapport Ă  la limite sĂ©parative et l'amĂ©nagement de leurs abords", selon un amendement de Michel Piron. Alors que le texte prĂ©voit qu'un dĂ©cret en Conseil d'Etat "fixe la liste des destinations des constructions que les rĂšgles Ă©dictĂ©es par les PLU et les Scot peuvent prendre en compte", un amendement de la rapporteure "vise Ă  exclure les Scot de la disposition dans la mesure oĂč ces documents n'ont pas vocation Ă  prescrire des dispositions rĂ©glementant la destination des constructions". Selon un autre amendement, il est Ă©galement prĂ©vu que cette liste permette "de distinguer la destination des bĂątiments dans un objectif de mixitĂ© fonctionnelle". A l'article 75 mobilisation des terrains issus du lotissement, un amendement rĂ©tablit "des dispositions relatives Ă  la publicitĂ© du cahier des charges d'un lotissement afin que, s'il n'a pas Ă©tĂ© publiĂ© dans un dĂ©lai de cinq ans Ă  compter de l'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente loi, ses dispositions ne puissent ĂȘtre opposĂ©es Ă  l'application des rĂšgles actuelles d'urbanisme ". Le SĂ©nat avait supprimĂ© ces mesures. Concernant la cession de foncier public article 76 A, les dĂ©putĂ©s ont aussi modifiĂ© les dispositions prĂ©vues dans cet l'article introduit par les sĂ©nateurs et visant Ă  adapter le dispositif de sanction pour la non-rĂ©alisation du programme de logements dans les cas de dĂ©cote consentie lors d'une cession d'un bien du domaine privĂ© de l'Etat ou d'un de ses Ă©tablissements publics. "Le dĂ©lai de cinq ans s'avĂšre inadaptĂ© pour la production de logements s'inscrivant dans une opĂ©ration d'amĂ©nagement portant sur une importante surface de terrains et/ou prĂ©voyant un programme de constructions consĂ©quent", explique l'exposĂ© des motifs de l'amendement. La nouvelle rĂ©daction prĂ©voit donc que la convention conclue entre le prĂ©fet et l'acquĂ©reur "peut prĂ©voir une rĂ©alisation de l'opĂ©ration par tranches Ă©chelonnĂ©es sur une durĂ©e totale supĂ©rieure Ă  cinq ans" "permettant chacune un contrĂŽle du dispositif de dĂ©cote dans les conditions prĂ©vues [
]". Les dĂ©putĂ©s ont Ă©galement prĂ©cisĂ© que la convention est conclue aprĂšs "accord" des ministres chargĂ©s du logement et du domaine et non plus "avis". A l'article 78 bis contrats de dĂ©veloppement territorial-CDT, un amendement de François Pupponi SRC, Val-d'Oise prĂ©cise que les dispositions relatives aux opĂ©rations de rĂ©habilitation ou de rĂ©amĂ©nagement urbain en zone C des plans d'exposition au bruit PEB ne peuvent ĂȘtre intĂ©grĂ©es sous conditions qu'aux CDT conclus ou rĂ©visĂ©s "au plus tard un an aprĂšs la publication de la loi" et non "avant le 1er janvier 2015" comme cela Ă©tait prĂ©vu initialement. Au chapitre des dispositions diverses, un amendement Ă  l'article 84, concernant la ratification de quatre ordonnances, un amendement du gouvernement "vise Ă  prolonger le dĂ©lai prĂ©vu par l'ordonnance n°2011-1068 ndu 8 septembre 2011 relative aux EPF, aux EPA de l'Etat et Ă  l'AFTRP pour l'Ă©laboration du projet stratĂ©gique et opĂ©rationnel des Ă©tablissements publics d'amĂ©nagement ainsi que pour la publication des dĂ©crets constitutifs des Ă©tablissements publics mentionnĂ©s par l'ordonnance permettant leur mise en cohĂ©rence avec l'ordonnance", et ce afin de "tenir compte des modifications de gouvernance introduites par la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des mĂ©tropoles et de l'installation de nouvelles Ă©quipes municipales en dĂ©but d'annĂ©e 2014 ". Enfin les dĂ©putĂ©s ont supprimĂ© l'article 84 ter introduit par le SĂ©nat qui contenait des dispositions relatives au Domaine national de Chambord.

Aucours des premiĂšres discussions sur le projet de loi sur la biodiversitĂ© et de crĂ©ation de l’agence française, les dĂ©putĂ©s apportent les premiĂšres retouches. Deux retouches essentielles concernent les territoires de montagne. Il y en aura sans doute d’autres. Les communes de montagne siĂšgeront Ă  l’Agence Française de la BiodiversitĂ©. Sur les 5

PubliĂ© le 9 oct. 2002 Ă  101Les dĂ©putĂ©s, qui ont repris hier soir le dĂ©bat sur le volet temps de travail du projet de loi Fillon, vont ajouter quelques assouplissements supplĂ©mentaires au texte du gouvernement. Parmi les modifications qui devraient ĂȘtre votĂ©es par l'AssemblĂ©e nationale Les Echos » du 4 octobre, figure en particulier un Ă©largissement supplĂ©mentaire du champ des cadres en forfait jour. La sĂ©curisation juridique » des accords de branche sera aussi inscrite Ă  l'ordre du jour. Le sujet est politiquement sensible il avait fait l'objet d'un bras de fer entre le Medef et Martine Aubry, qui avait refusĂ© de valider les clauses contraires Ă  sa rĂ©forme inscrites dans les accords de branche signĂ©s avant la loi de janvier 2000. L'amendement en question Ă©vite simplement de devoir renĂ©gocier les clauses des accords actuellement illĂ©gales et que la rĂ©forme va rendre valables. Alors que le dĂ©cret portant Ă  180 heures le contingent des heures supplĂ©mentaires est provisoire, les branches ayant d'ores et dĂ©jĂ  nĂ©gociĂ© un volume de cet ordre sont assurĂ©es de pouvoir le conserver. A contrario, les branches comme l'artisanat du bĂątiment Capeb dont l'accord prĂ©voit 145 heures vont ĂȘtre contraintes de le renĂ©gocier si elles souhaitent aller au-delĂ . La sĂ©curisation des accords va aussi valider le champ des cadres en forfait jour, souvent plus large dans les textes nĂ©gociĂ©s que dans la loi Aubry. De nombreuses branches parmi lesquelles la mĂ©tallurgie, le BTP ou la chimie vont en bĂ©nĂ©ficier, pour la plus grande satisfaction des entreprises mais pas forcĂ©ment des cadres. Deux prĂ©cisions A contrario, une lecture attentive du projet de loi rĂ©vĂšle deux prĂ©cisions qui vont plutĂŽt aller dans le sens des salariĂ©s. La premiĂšre concerne la durĂ©e lĂ©gale du travail. Les entreprises ne pourront pas plus demain qu'hier imposer Ă  leur personnel de varier leurs horaires hebdomadaires sans leur payer des heures supplĂ©mentaires. L'article 2 du projet de loi Fillon supprime certes la rĂ©fĂ©rence aux 35 heures par semaine, mais uniquement lorsque le temps de travail est annualisĂ©. Et pour cela, il faut toujours un accord collectif de modulation. C'est seulement dans ce cas que la seule durĂ©e de travail qui servira de rĂ©fĂ©rence sera heures par an, qui resteront un plafond. Les accords d'annualisation fixant une durĂ©e du travail infĂ©rieure continueront Ă  s'appliquer, Ă  moins, Ă©videmment, d'ĂȘtre dĂ©noncĂ©s. Par ailleurs, toutes les entreprises ne pourront pas augmenter le temps de travail de leurs salariĂ©s jusqu'Ă  39 heures 35 heures hebdomadaires plus 180 heures supplĂ©mentaires. En effet, le projet de loi ne modifie pas la rĂšgle Ă©tablie par la loi Aubry selon laquelle le contingent est rĂ©duit » en cas d'annualisation importante. Sont dans ce cas les entreprises oĂč l'amplitude hebdomadaire excĂšde la fourchette 31-39 heures ainsi que celles oĂč la modulation joue sur plus de 70 heures dans l'annĂ©e. Actuellement, le dĂ©cret d'application de cette disposition fixe leur plafond spĂ©cifique d'heures supplĂ©mentaires Ă  90 heures, soit 37 heures 30 hebdomadaires au maximum, et le gouvernement n'a pas l'intention d'y toucher. Comment affronter la montĂ©e des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă  comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă  prendre les meilleures dĂ©couvre les offres
  1. ÔŒĐ°á‹ŒŐ­á‚Ő«ÏˆĐ”Ő° էք
  2. ĐšĐ»Đ”Ő±Î”áˆ«Î±Đ±Îż խрաЮፎхև ш
Définitionde amender. Corriger, améliorer, rendre meilleur. Améliorer la valeur agronomique d'un sol par des apports de calcaire, de chaux, ou de fumier, de matiÚres humiques. Corriger un
Retouche et chromie de photos nature morte - Utilisation de la suite adobe indispensable (photoshop, illustrator, indesign) - Aide à l'organisation de shootings nature morte: booking ALGER- Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouia a annoncé dimanche devant l'Assemblée populaire nationale (APN) la révision en 2018 de la loi 84-17 relative aux lois de Finances.

Au lieu d'une multitude de commissions par disciplines, qui élabo- reraient leurs projets dans u n isolement plus ou moins complet et qui entreraient par la suite en compétition, il convient de créer une c o m - mission unique responsable du contenu de l'enseignement (ou d'un certain niveau d'enseignement), assortie de sous-commissions par niveaux, par groupes de disciplines, etc.

Mélangesen l'honneur de Pascal Ancel by Pascale Deumier ( Book ) Most widely held works by Pascal Ancel Contrats et obligations conventionnelles en droit luxembourgeois : approche comparative by Pascal Ancel ( ) 11 editions published between 2015 and 2016 in 3 languages and held by 507 WorldCat member libraries worldwide Manuel de droit luxembourgeois des

ApporterDes Retouches À Un Projet De Loi - CodyCross La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre A CodyCross Solution pour APPORTER DES RETOUCHES À UN PROJET DE LOI de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle
Le projet de loi modifiant la loi N° 2019-018 portant attribution et fonctionnement du District Autonome du Grand LomĂ©, apporte un Ă©clairage aux difficultĂ©s rencontrĂ©es dans l’exĂ©cution de certaines des compĂ©tences dudit district aprĂšs trois annĂ©es de fonctionnement partiel. En effet, face Ă  une interprĂ©tation erronĂ©e desdites
retouchesLa loi « Climat et rĂ©silience » du 22 aoĂ»t 2021 crĂ©e un nouveau droit de prĂ©emption pour les zones exposĂ©es Ă  un risque de recul du trait de cĂŽte tout en effectuant des retouches au droit de prĂ©emption relatif aux espaces naturels sensibles. 1319 ENVIRONNEMENT Étude rĂ©digĂ©e par : Samantha Ramus, juriste consultant au
Dansun projet de loi adopté mercredi, le Conseil d'Etat genevois a apporté des retouches «par souci de cohérence» à l'initiative votée le 3 mars contre la hausse des tarifs des TPG.

Ily a en tout 1 utilisateur en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 1 Invité :: 2 Moteurs de recherche Aucun Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 103 le Mar 5 Déc - 19:31

bnwcd7.