PoĂšmeet poĂ©sie – FĂȘte des mĂšres: Une maman – Ce1 – Cycle 2. Une maman. Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement
PubliĂ© le 15 novembre 2021 Le ciel nocturne a fascinĂ© l’humanitĂ© depuis des milliers d’annĂ©es. La preuve en est que de nombreuses Ă©toiles font partie de constellations inventĂ©es par l’homme. Ces derniĂšres font partie des mythes et des lĂ©gendes dĂ©crits dans de nombreux livres des temps Ă©toiles illuminent nos vies de nombreuses façons, non seulement par les photons qui atteignent nos yeux, mais Ă©galement par la maniĂšre dont elles nous inspirent chaque fois que nous les contemplons dans le ciel nocturne. En effet, un grand nombre d’hommes et de femmes ont Ă©tĂ© inspirĂ©s par ces astres et ont créé des livres, des poĂšmes, des piĂšces de théùtre et de la musique Ă  leur suis souvent Ă  court de mots lorsque j’admire les Ă©toiles dans mon tĂ©lescope. Ce n’est pas le cas des nombreuses personnes que j’ai rĂ©pertoriĂ©es sur cette page. J’espĂšre que vous apprĂ©cierez autant que moi ces citations Ă©mouvantes et intĂ©ressantes sur les Ă©toiles. DĂ©couvrez notre sĂ©lection de belles citations sur les Ă©toiles Il y a autant d’atomes dans une seule molĂ©cule de votre ADN qu’il y a d’étoiles dans une galaxie typique. Nous sommes, chacun d’entre nous, un petit univers. »– Neil deGrasse Tyson Nous sommes tous des Ă©toiles, et nous mĂ©ritons de scintiller. »– Marilyn Monroe Tout ce qu’on voit des Ă©toiles, ce sont leurs vieilles photos. »– Alan Moore Visez les Ă©toiles, mais si vous les ratez, alors visez la lune. »– Neil Armstrong Il y a plus d’étoiles dans les cieux que de grains de sable sur toutes les plages du monde ».– Carl Sagan Ce n’est pas dans les Ă©toiles que se trouve notre destin, mais en nous-mĂȘmes. »– William Shakespeare Il y a de la poussiĂšre d’étoile dans vos veines. Nous sommes littĂ©ralement, dĂ©finitivement, les enfants des Ă©toiles. »– Jocelyn Bell Burnell Gardez les yeux vers les Ă©toiles, et gardez les pieds sur terre. »– Theodore Roosevelt Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d’entre nous regardent les Ă©toiles. »– Oscar Wilde Gardez les yeux vers les Ă©toiles en haut et non pas en bas, Ă  vos pieds. Essayez de donner un sens Ă  ce que vous voyez, et interrogez-vous sur l’existence de l’univers. Soyez curieux. »– Stephen Hawking Pour ma part, je ne sais rien avec certitude mais la vue des Ă©toiles me fait rĂȘver. »– Vincent Van Gogh Il est raisonnable d’espĂ©rer que, dans un avenir pas trop lointain, nous serons capables de comprendre une chose aussi simple qu’une Ă©toile. »– Arthur Eddington Les vĂ©ritables amis du voyageur de l’espace sont les Ă©toiles. Leurs silhouettes amicales et familiĂšres sont des compagnons constants, immuables, lĂ -haut. »– James Lovell Regarder ces Ă©toiles a soudain Ă©clipsĂ© mes propres problĂšmes et toutes les difficultĂ©s de la vie terrestre. Je pensais Ă  leur insondable distance, et Ă  la lente dĂ©rive inĂ©vitable de leurs mouvements, du passĂ© inconnu vers l’avenir inconnu. »– Herbert George Wells Et en regardant l’étoile, j’ai rĂ©alisĂ© ce que des millions d’autres personnes ont rĂ©alisĂ© en regardant les Ă©toiles. Nous sommes minuscules. Nous n’avons pas d’importance. Nous sommes lĂ  une seconde et nous disparaissons la seconde suivante. Nous sommes un Ă©ternuement dans la vie de l’univers. »– Danny Wallace Les Ă©toiles sont les frontiĂšres de l’univers. » – Sir John Frederick William Herschel Les nouvelles Ă©toiles offrent Ă  l’esprit un phĂ©nomĂšne plus surprenant, et moins explicable, que presque tout autre dans la science de l’astronomie. »– George Adams Il n’y aurait pas un ciel plein d’étoiles si nous Ă©tions tous censĂ©s souhaiter la mĂȘme. »– Frances Clark J’ai aimĂ© les Ă©toiles trop tendrement pour avoir peur de la nuit. »– Galileo Galilei Ne vous plaignez pas sous les Ă©toiles du manque de lumiĂšre dans votre vie. »– Bjornstjerne Bjornson J’aime les Ă©toiles. Parce qu’elles ne peuvent rien dire. J’aime les Ă©toiles. Parce qu’elles ne jugent personne. »– Natsuki Takaya Des Ă©toiles, partout. Tant d’étoiles que je n’arrivais pas Ă  comprendre comment le ciel pouvait les contenir toutes tout en Ă©tant si noir. »– Peter Watts On dirait que les Ă©toiles sont si proches qu’on pourrait les toucher. Mais on ne peut pas. Parfois les choses semblent beaucoup plus proches qu’elles ne le sont »– Kami Garcia Toi et moi sommes faits de poussiĂšre d’étoile. Nous sommes faits de matiĂšre provenant des explosions d’étoiles. Nous sommes, par consĂ©quent, au moins une façon pour l’Univers de se connaĂźtre lui-mĂȘme. Cela, pour moi, est incroyable. »– Bill Nye Lorsque nous observons l’espace, nous regardons nos propres origines, car nous sommes vĂ©ritablement les enfants des Ă©toiles. »– Brian Cox Regardez les Ă©toiles et apprenez d’elles. »– Albert Einstein Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une Ă©toile, c’est doux, la nuit, de regarder le ciel. – Antoine de Saint-Exupery Je suis un enfant de la Voie lactĂ©e. La nuit est ma mĂšre. Je suis fait de la poussiĂšre des Ă©toiles »– Chet Raymo J’aime la lumiĂšre car elle me montre le chemin, mais j’aime aussi l’obscuritĂ© car elle me montre les Ă©toiles ».– Og Mandino Ne regardez pas les Ă©toiles uniquement comme des points lumineux. Essayez de percevoir l’immensitĂ© de l’univers. »– Maria Mitchell Et voilĂ  la liste de mes citations prĂ©fĂ©rĂ©es sur les Ă©toiles. En tant qu’astronome amateur passionnĂ©, l’observation du ciel nocturne me remplit d’un sentiment d’émerveillement et j’espĂšre que ces belles citations vous feront ressentir la mĂȘme chose. Je m’appelle Tom, et je suis le crĂ©ateur de ce site dĂ©diĂ© Ă  l’astronomie, l’espace et l’observation du ciel. Je passe la plupart de mon temps libre dans mon jardin Ă  admirer les planĂštes et les galaxies avec mon tĂ©lescope. Ah ! Votre lecture ne s'arrĂȘte pas lĂ  🚀 Cette page fait partie de notre collection d’articles sur l’observation des Ă©toiles. Si vous avez aimĂ© ce sujet, alors vous adorerez les articles suivants. Vous avez peut-ĂȘtre remarquĂ© que certaines Ă©toiles sont plus visibles que d’autres. DĂ©couvrez les 5 Ă©toiles les plus brillantes du ciel nocturne L’un des plus beaux moments lorsque l’on observe les Ă©toiles est celui oĂč l’on peut admirer des Ă©toiles filantes traversant le ciel nocturne. Etles Ă©toiles sentinelles montaient la garde dans le ciel; Et des milliers de personnes avaient sombr Ă© sur le sol, vaincues, Les fatiguĂ©s pour dormir, et les blessĂ©s pour mourir. The Soldier's Dream de . Thomas Campbell. RĂ©fĂ©rences de Thomas Campbell - Biographie de Thomas Campbell Plus sur cette citation >> Citation de Thomas Campbell (n° 174017) Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. AndrĂ© Bay FĂȘte des MĂšres

Il y a des milliers d'Ă©toiles Dans le ciel Il y a des milliers de poissons Dans la mer Il y a des milliers de fleurs Dans les champs, Mais il n'y a qu'une maman comme toi!" imprimer partager Le plus beau collier Qu'une maman Un papa (auteur Pierre Ruaud) Ton cƓur est comme un nid ThĂšmes associĂ©s

À MADAME DE P***. Il est pour la pensĂ©e une heure
 une heure sainte, Alors que, s’enfuyant de la cĂ©leste enceinte, De l’absence du jour pour consoler les cieux, Le crĂ©puscule aux monts prolonge ses adieux. On voit Ă  l’horizon sa lueur incertaine, Comme les bords flottants d’une robe qui traĂźne, Balayer lentement le firmament obscur, OĂč les astres ternis revivent dans l’azur. Alors ces globes d’or, ces Ăźles de lumiĂšre, Que cherche par instinct la rĂȘveuse paupiĂšre, Jaillissent par milliers de l’ombre qui s’enfuit, Comme une poudre d’or sur les pas de la nuit ; Et le souffle du soir qui vole sur sa trace Les sĂšme en tourbillons dans le brillant espace. L’Ɠil Ă©bloui les cherche et les perd Ă  la fois Les uns semblent planer sur les cimes des bois, Tels qu’un cĂ©leste oiseau dont les rapides ailes Font jaillir, en s’ouvrant, des gerbes d’étincelles. D’autres en flots brillants s’étendent dans les airs, Comme un rocher blanchi de l’écume des mers ; Ceux-lĂ , comme un coursier volant dans la carriĂšre, DĂ©roulent Ă  longs plis leur flottante criniĂšre ; Ceux-ci, sur l’horizon se penchant Ă  demi, Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi ; Tandis qu’aux bords du ciel de lĂ©gĂšres Ă©toiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port d’un rivage lointain, Brillent sur l’OcĂ©an aux rayons du matin. De ces astres de feu, son plus sublime ouvrage, Dieu seul connaĂźt le nombre, et la distance, et l’ñge Les uns, dĂ©jĂ  vieillis, pĂąlissent Ă  nos yeux ; D’autres se sont perdus dans les routes des cieux ; D’autres, comme des fleurs que son souffle caresse, LĂšvent un front riant de grĂące et de jeunesse, Et, charmant l’orient de leurs fraĂźches clartĂ©s, Étonnent tout Ă  coup l’Ɠil qui les a comptĂ©s. Dans l’espace aussitĂŽt ils s’élancent
 et l’homme, Ainsi qu’un nouveau-nĂ©, les salue et les nomme. Quel mortel enivrĂ© de leur chaste regard, Laissant ses yeux errants les fixer au hasard, Et cherchant le plus pur parmi ce chƓur suprĂȘme, Ne l’a pas consacrĂ© du nom de ce qu’il aime ? Moi-mĂȘme
 il en est un, solitaire, isolĂ©, Qui dans mes longues nuits m’a souvent consolĂ©, Et dont l’éclat, voilĂ© des ombres du mystĂšre, Me rappelle un regard qui brillait sur la terre. Peut-ĂȘtre
 ah ! puisse-t-il au cĂ©leste sĂ©jour Porter au moins ce nom que lui donna l’amour ! Cependant la nuit marche, et sur l’abĂźme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence, Et nous-mĂȘme avec eux emportĂ©s dans leur cours, Vers un port inconnu nous avançons toujours. Souvent pendant la nuit, au souffle du zĂ©phyre, On sent la terre aussi flotter comme un navire ; D’une Ă©cume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours Ă©gal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues d’azur oĂč le globe se joue, On entend l’aquilon se briser sous la proue, Et du vent dans les mĂąts les tristes sifflements, Et de ses flancs battus les sourds gĂ©missements ; Et l’homme, sur l’abĂźme oĂč sa demeure flotte, Vogue avec voluptĂ© sur la foi du pilote ! Soleils, mondes errants qui voguez avec nous, Dites, s’il vous l’a dit, oĂč donc allons-nous tous ? Quel est le port cĂ©leste oĂč son souffle nous guide ? Quel terme assigna-t-il Ă  notre vol rapide ? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Échouant dans la nuit sur quelque vaste Ă©cueil, Semer l’immensitĂ© des dĂ©bris du naufrage ? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l’ancre Ă©ternelle Ă  jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis ? Vous qui nagez plus prĂšs de la cĂ©leste voĂ»te, Mondes Ă©tincelants, vous le savez sans doute ! Cet ocĂ©an plus pur, ce ciel oĂč vous flottez, Laisse arriver Ă  vous de plus vives clartĂ©s ; Plus brillantes que nous, vous savez davantage ; Car de la vĂ©ritĂ© la lumiĂšre est l’image. Oui, si j’en crois l’éclat dont vos orbes errants Argentent des forĂȘts les dĂŽmes transparents, Ou qui, glissant soudain sur des mers irritĂ©es, Calme en les Ă©clairant les vagues agitĂ©es ; Si j’en crois ces rayons qui, plus doux que le jour, Inspirent la vertu, la priĂšre, l’amour, Et, quand l’Ɠil attendri s’entr’ouvre Ă  leur lumiĂšre, Attirent une larme aux bords de la paupiĂšre ; Si j’en crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers vous les soupirs des amants, Les yeux de la beautĂ©, les rĂȘves qu’on regrette, Et le vol enflammĂ© de l’aigle et du poĂ«te, Tentes du ciel, Édens, temples, brillants palais, Vous ĂȘtes un sĂ©jour d’innocence et de paix ! Dans le calme des nuits, Ă  travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence. Tout ce que nous cherchons, l’amour, la vĂ©ritĂ©, Ces fruits tombĂ©s du ciel, dont la terre a goĂ»tĂ©, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent Ă  jamais les enfants de la vie ; Et l’homme un jour peut-ĂȘtre, Ă  ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce qu’il a perdu. HĂ©las ! combien de fois seul, veillant sur ces cimes OĂč notre Ăąme plus libre a des vƓux plus sublimes, Beaux astres, fleurs du ciel dont le lis est jaloux, J’ai murmurĂ© tout bas Que ne suis-je un de vous ! Que ne puis-je, Ă©chappant Ă  ce globe de boue, Dans la sphĂšre Ă©clatante oĂč mon regard se joue, Jonchant d’un feu de plus le parvis du saint lieu, Éclore tout Ă  coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beautĂ© suprĂȘme, Comme un pĂąle fleuron de son saint diadĂšme ! Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j’aimais briller prĂšs de la terre ; J’aimerais Ă  glisser sous la nuit des rameaux, À dormir sur les prĂ©s, Ă  flotter sur les eaux, À percer doucement le voile d’un nuage, Comme un regard d’amour que la pudeur ombrage. Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une Ăąme en deuil, un cƓur qu’un poids sublime oppresse, RĂ©pandant devant Dieu sa pieuse tristesse ; Un malheureux au jour dĂ©robant ses douleurs, Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs ; Un gĂ©nie inquiet, une active pensĂ©e Par un instinct trop fort dans l’infini lancĂ©e ; Mon rayon, pĂ©nĂ©trĂ© d’une sainte amitiĂ©, Pour des maux trop connus prodiguant sa pitiĂ©, Comme un secret d’amour versĂ© dans un cƓur tendre, Sur ces fronts inclinĂ©s se plairait Ă  descendre. Ma lueur fraternelle en dĂ©coulant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait Ă  leurs yeux Je leur rĂ©vĂ©lerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine ; Je sĂ©cherais leurs pleurs, et quand l’Ɠil du matin Ferait pĂąlir mon disque Ă  l’horizon lointain, Mon rayon, en quittant leur paupiĂšre attendrie, Leur laisserait encor la vague rĂȘverie, Et la paix et l’espoir ; et, lassĂ©s de gĂ©mir, Au moins avant l’aurore ils pourraient s’endormir ! Et vous, brillantes sƓurs, Ă©toiles mes compagnes, Qui du bleu firmament Ă©maillez les campagnes, Et, cadençant vos pas Ă  la lyre des cieux, Nouez et dĂ©nouez vos chƓurs harmonieux ; Introduit sur vos pas dans la cĂ©leste chaĂźne, Je suivrais dans l’éther l’instinct qui vous entraĂźne ; Vous guideriez mon Ɠil dans ce vaste dĂ©sert, Labyrinthe de feux oĂč le regard se perd Vos rayons m’apprendraient Ă  louer, Ă  connaĂźtre Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-ĂȘtre ; Et, noyant dans mon sein ses tremblantes clartĂ©s, Je sentirais en lui
 tout ce que vous sentez. HuitiĂšme mĂ©ditation Alphonse de Lamartine Des milliers d'Ă©toiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Jump to Sections of this page
Traductions et commentaires des poĂšmes zen de Thich Nhat Hanh affichĂ©s dans les salles de notre maĂźtre ThĂąy a offert des versets parallĂšlesLes versets parallĂšles que l’on peut aussi dĂ©signer sous le terme de couplets’ sont une forme de poĂ©sie vietnamienne, dont chaque vers comprend le mĂȘme nombre de mots, variant gĂ©nĂ©ralement de quatre Ă  sept. Bien souvent, les caractĂšres associĂ©s appartiennent aussi Ă  la mĂȘme catĂ©gorie lexicale nom-nom, verbe-verbe, etc..créés de sa propre main, pour chaque salle de mĂ©ditation. Ils sont accrochĂ©s de part et d’autre de l’autel principal et leur nature poĂ©tique sert d’inspiration Ă  notre la premiĂšre fois que nous proposons une traduction de ces vers, complĂ©tĂ©e d’un commentaire d’un aĂźnĂ© du Village des Pruniers. Nous espĂ©rons que ces versets vous offriront un petit aperçu de la beautĂ© de la poĂ©sie zen de mĂ©ditation AssemblĂ©e des Étoiles’ Hameau du BasLe ruisseau bouillonnant, riviĂšre du Nectar du Dharma. Le bruissement du saule, une assemblĂ©e de milliers d'Ă©toiles Suối tuĂŽn rĂłc rĂĄch dĂČng cam lộ DÆ°ÆĄng reo vi vĂșt hội ngĂ n de mĂ©ditation AssemblĂ©e des Ă©toiles’, Hameau du BasCommentaire de Sr Hoi Nghiem C’est Ă  l’occasion du nouvel an vietnamien de 2012 que ThĂąy, notre MaĂźtre, a spĂ©cifiquement offert ces deux versets parallĂšles au Hameau du Bas. Ces deux versets contiennent les noms de la salle de mĂ©ditation et du temple situĂ©s au Hameau du Bas. Le Temple du Hameau du Bas s’appelle le Temple du Nectar du Dharma, et la salle de mĂ©ditation Ă©galement situĂ©e dans le Temple s’appelle la Salle de MĂ©ditation de l’AssemblĂ©e des Étoiles. Ces phrases peuvent ĂȘtre vues parallĂšlement les unes aux autres, Ă  l’entrĂ©e de la salle de mĂ©ditation de l’AssemblĂ©e des Étoiles. Mais bien sĂ»r, lorsque ThĂąy nous offre un poĂšme, il nous offre Ă©galement des joyaux d’inspiration destinĂ©s Ă  amĂ©liorer notre deux phrases Ă©voquent de magnifiques images. La poĂ©sie est l’art de combiner les mots, elle a le pouvoir d’éveiller des sentiments profonds chez le lecteur. C’est un vĂ©ritable cadeau pour ruisseau bouillonnant, ruisseau du Nectar du Dharma. Suối tuĂŽn rĂłc rĂĄch dĂČng cam lộLorsqu’on est en prĂ©sence d’un ruisseau, entendre le bouillonnement de l’eau qui coule et la voir ruisseler sur les rochers nous donne l’occasion de nous arrĂȘter, de nous dĂ©tendre et de profiter de la fraĂźcheur de sa beautĂ© tranquille et paisible. Nous voulons rester lĂ  pour en profiter le plus longtemps possible. Le ruisseau est toujours lĂ  ; reste Ă  savoir si nous le sommes pour lui
 Sommes-nous prĂ©occupĂ©s par d’autres projets, soucis, chagrins et anxiĂ©tĂ©s ? Parvenons-nous Ă  ĂȘtre pleinement prĂ©sents pour entendre toutes les richesses que nous offre le ruisseau ?En chacun de nous se trouvent de nombreux ruisseaux, le ruisseau de la compassion, de la comprĂ©hension, de la joie
 Nous pouvons pratiquer de maniĂšre Ă  ce que tous les cours d’eau en nous demeurent frais, vivants, fluides et non encombrĂ©s. La pratique rĂ©guliĂšre du retour Ă  soi nous aide Ă  gĂ©nĂ©rer et Ă  maintenir le bien-ĂȘtre de nos ruisseaux. Comprendre et prendre le temps de revenir Ă  soi, ĂȘtre pleinement prĂ©sent, nous aide Ă  Ă©lever notre source de Nectar du Dharma. Si nous avons soif, quelques gouttes de Nectar du Dharma suffisent Ă  l’étancher nous cultivons nos ruisseaux, c’est dans l’intention de gĂ©nĂ©rer le courant du Nectar du Dharma en nous, d’abord pour nous-mĂȘmes et, finalement, pour l’offrir de maniĂšre efficace aux autres. C’est quelque chose que ThĂąy avait l’habitude de nous rappeler bien souvent. Par consĂ©quent, lorsque nous pratiquons avec le ruisseau bouillonnant, le courant du Nectar du Dharma est vivant, prospĂšre, et est aisĂ©ment accessible pour y prendre bruissement du saule, une assemblĂ©e de milliers d'Ă©toiles. DÆ°ÆĄng reo vi vĂșt hội ngĂ n saoL’imagerie du bruissement des saules et une assemblĂ©e de milliers d’étoiles sont des images qui vous saisissent les yeux et le cƓur. La beautĂ© qui nous environne, et qui nous habite, est aussi Ă©levĂ©e que le ciel et offre le mĂȘme envoĂ»tantement que les nombreuses Ă©toiles rassemblĂ©es. Pourtant, la distraction peut nous faire passer complĂštement Ă  cĂŽtĂ©. Et nous ratons Ă©galement le calme, l’espace, l’immensitĂ© et la connexion que nous offrent les “bruissement du saule, une assemblĂ©e de milliers d’étoiles” Ă©voque des images et des sons qui nous invitent Ă  ĂȘtre prĂ©sents et Ă  communier avec la nature la nuit. La compagnie du saule bruissant et le rassemblement des milliers d’étoiles sont source de solitude et de du Bouddha Hameau NouveauSur un trĂŽne de lotus blanc, le Tathagata apparaĂźt, Au milieu de la forĂȘt de bambous violets, demeure Avalokiteshvara. TrĂȘn đài sen tráșŻng Như Lai hiện Giữa rừng tre tĂ­m QuĂĄn Âm du Bouddha au Hameau NouveauCommentaire de Sr Dinh Nghiem En 1997, environ un an aprĂšs l’acquisition du Hameau Nouveau par le Village des Pruniers, ThĂąy a fait en sorte que la salle du Bouddha soit reconstruite. Et il a choisi la couleur violette pour la moquette. Les sƓurs du Hameau Nouveau ont ensuite cousu des housses violettes pour les tapis et coussins de mĂ©ditation. Et lors de la journĂ©e de pleine conscience qui s’est tenue au Hameau Nouveau, les frĂšres du Hameau du Haut et les sƓurs du Hameau du Bas ont gentiment taquinĂ© leurs soeurs en rebaptisant leur hameau de “Hameau Pourpre”. Cela a durĂ© un certain temps, jusqu’au jour oĂč je m’en suis plainte auprĂšs de ThĂąy “Cher ThĂąy, pourquoi avez-vous choisi le violet ? DĂ©sormais, oĂč que l’on aille, nous sommes la risĂ©e des autres hameaux.” Alors ThĂąy ouvrit un livre en chinois et, d’un doigt, m’indiqua ceci “Ne sais-tu pas que la forĂȘt de bambous violets est la maison d’Avalokiteshvara ? Le violet est une trĂšs belle couleur.” Quelques jours plus tard, ThĂąy offrit au Hameau Nouveau une paire de versets parallĂšles qu’il venait d’écrire en calligraphie. Les sƓurs les fixĂšrent sur deux longs rouleaux de tissu violet et les accrochĂšrent de part et d’autre de la statue de Bouddha. Ils y sont encore aujourd’ un trĂŽne de lotus blanc, le Tathagata se manifeste. TrĂȘn đài sen tráșŻng Như Lai hiệnChaque fois que nous mettons le pied dans la salle du Bouddha et que nous voyons le Tathagata assis sur le trĂŽne de lotus blanc, nos afflictions se dissipent. Le Tathagata est l’énergie de la comprĂ©hension, de la paix et de la soliditĂ©. Il est assis sur le lotus blanc, parfumĂ© et pur. Mais ce lotus pousse aussi dans la boue, tout comme sa comprĂ©hension, sa paix et sa soliditĂ© sont nĂ©es des expĂ©riences de la souffrance. Si nous savons comment pratiquer, nous pouvons utiliser la boue pour faire pousser des lotus et profiter des fleurs de lotus parfumĂ©es et pures. Nous pouvons Ă©galement transformer notre douleur et notre souffrance en comprĂ©hension, paix et cƓur de la forĂȘt de bambous violets, demeure Avalokiteshvara. Giữa rừng tre tĂ­m QuĂĄn Âm ngồiFace au Bouddha se trouve Avalokiteshvara, le Bodhisattva de l’écoute profonde et de la grande compassion. Nous Ă©coutons afin de comprendre. DĂšs que nous comprenons, nous pouvons accepter et avoir de la compassion. Le bambou violet est une espĂšce de bambou Ă  la fois magnifique et rare. Les bambous sont rĂ©sistants et leurs feuilles sont de couleur verte toute l’annĂ©e. GrĂące Ă  un systĂšme de racines entrelacĂ©es qui s’étendent et pĂ©nĂštrent profondĂ©ment dans la terre, et par la nature Ă  la fois trĂšs mince et souple de leur tige, ils sont capables de traverser les tempĂȘtes et les ouragans sans ĂȘtre abattus. En pratiquant l’écoute en vue de comprendre et d’aimer comme Avalokiteshvara, nous serons solides et capables de surmonter toutes les difficultĂ©s que nous pouvons rencontrer avec nos proches et tous ceux qui nous un Ɠil sur la deuxiĂšme partie de ces commentaires ! Nous y aborderons les versets parallĂšles de laSalle de mĂ©ditation de l’Eau Tranquille du Hameau du Haut.
\n \n\npoÚme des milliers d étoiles dans le ciel
Desmilliers d'étoiles dans le ciel Des milliers d'oiseaux dans les arbres Des milliers de fleurs dans les jardins Des milliers d'abeilles sur les fleurs. Mais seulement, seulement . Petit poÚme pour maman . Il a plu des mots ce matin Ils sont tombés dans mon jardin. Des mots trÚs fous Qui font la roue, Des mots d'amour Tout en velours, Des
Des milliers d'Ă©toiles dans le ciel Des milliers d'oiseaux dans les arbres Des milliers de fleurs dans les jardins Des milliers d'abeilles sur les fleurs. Mais seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement...une maman. Seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement...une maman. Par milliers aussi les coquillages, Par millions frĂ©tillent tant de poissons, Mais il n’est qu’un seul personnage, Une Ă©toile qui brille Ă  la maison. C'est seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement...une maman. Seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement...une maman. Si je ne suis pas toujours trĂšs sage, Si souvent je veux avoir raison, Aujourd'hui, on tournera la page, Pour ta fĂȘte, je t'offre cette chanson. C'est seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement... une maman. C’est seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement... pour toi maman.
Desmilliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans les jardins, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur la plage, Des
Un joli poĂšme que mes petits Ă©lĂšves de maternelle aimaient rĂ©citer Ă  leurs mamans le jour de la fĂȘte des mĂšres ... Une Maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une mamanSur la terre ! AndrĂ© Bay Pour ma maman chĂ©rie et pour toutes les mamans d'ici et d'ailleurs... Bonne journĂ©e Ă  tous !

Desmilliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et

Une Maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. AndrĂ© BAY Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous T timoineau 28/05/2019 2302 j'espere que vous avez toutes profiter de votre journĂ©e et que vous avez Ă©tĂ© bien gatĂ© RĂ©pondre C chantal lacour 27/05/2019 1531 bonjour joli ce texte pour les mamans . bisous . RĂ©pondre C Cmafalda 26/05/2019 2248 bonne fĂȘte a vous toutes ! pour moi un dimanche comme un autre , lol bises RĂ©pondre G gateuxrigolo 26/05/2019 1930 hello bonne fete a toutes bisous RĂ©pondre D dominique 26/05/2019 1636 merci pour ce joli poĂšme ! bonne fĂȘte Ă  toi et Ă  toutes les mamans qui me liront ! bises RĂ©pondre L LaĂ«titia62_59 26/05/2019 1434 joli poeme bonne fete , bon dimanche RĂ©pondre M TrĂšs joli poĂšme...ma maman est au ciel mais toujours dans mon coeur ...bonnes fĂȘte Ă  toutes les mamans sur terre et dans les Ă©toiles ... bonne journee Manou RĂ©pondre I Isaphanie 26/05/2019 1103 TrĂšs joli poĂȘme, bonne fĂȘte Manou, et bises. RĂ©pondre M MissParker 26/05/2019 1100 C'est bien vrai ; Bonne FĂȘte des MĂšres Ă  Toutes Beau dimanche ensoleillĂ©, bises RĂ©pondre J bonne fĂȘte Ă  toutes les mamans qu'elles soient honorĂ©es comme elles le mĂ©rite bisous janine RĂ©pondre B bonne fĂȘte a toutes les mamans jeunes et moins jeunes et a celles qui l ont Ă©tĂ© je l enverrai bien a quelques personnes ce poĂšme bisous et belle journĂ©e le soleil a enfin chassĂ© la brume je ne voyais plus la colline RĂ©pondre M eh oui Ă  ceux ou celles qui oublient qu'ils ont une maman ! allez ne gĂąchons pas cette belle fĂȘte T Bonne fĂȘte Manou Bisous RĂ©pondre M merci Martine ! bonne fĂȘte Ă©galement Y Bonjour, Merci pour ces souhaits et bonne fĂȘte. RĂ©pondre
ï»żPourLa fĂȘtes des mĂšres, rien de plus mignon qu'un enfant qui rĂ©cite (ou qui recopie sur une belle carte) un joli poĂšme. Voici 7 oeuvres incontournables pour fĂȘter les Ballade Ă  la lune C'Ă©tait, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre PromĂšne au bout d'un fil, Dans l'ombre, Ta face et ton profil ? Es-tu l'oeil du ciel borgne ? Quel chĂ©rubin cafard Nous lorgne Sous ton masque blafard ? N'es-tu rien qu'une boule, Qu'un grand faucheux bien gras Qui roule Sans pattes et sans bras ? Es-tu, je t'en soupçonne, Le vieux cadran de fer Qui sonne L'heure aux damnĂ©s d'enfer ? Sur ton front qui voyage. Ce soir ont-ils comptĂ© Quel Ăąge A leur Ă©ternitĂ© ? Est-ce un ver qui te ronge Quand ton disque noirci S'allonge En croissant rĂ©trĂ©ci ? Qui t'avait Ă©borgnĂ©e, L'autre nuit ? T'Ă©tais-tu CognĂ©e A quelque arbre pointu ? Car tu vins, pĂąle et morne Coller sur mes carreaux Ta corne À travers les barreaux. Va, lune moribonde, Le beau corps de PhĂ©bĂ© La blonde Dans la mer est tombĂ©. Tu n'en es que la face Et dĂ©jĂ , tout ridĂ©, S'efface Ton front dĂ©possĂ©dĂ©. Rends-nous la chasseresse, Blanche, au sein virginal, Qui presse Quelque cerf matinal ! Oh ! sous le vert platane Sous les frais coudriers, Diane, Et ses grands lĂ©vriers ! Le chevreau noir qui doute, Pendu sur un rocher, L'Ă©coute, L'Ă©coute s'approcher. Et, suivant leurs curĂ©es, Par les vaux, par les blĂ©s, Les prĂ©es, Ses chiens s'en sont allĂ©s. Oh ! le soir, dans la brise, PhoebĂ©, soeur d'Apollo, Surprise A l'ombre, un pied dans l'eau ! PhoebĂ© qui, la nuit close, Aux lĂšvres d'un berger Se pose, Comme un oiseau lĂ©ger. Lune, en notre mĂ©moire, De tes belles amours L'histoire T'embellira toujours. Et toujours rajeunie, Tu seras du passant BĂ©nie, Pleine lune ou croissant. T'aimera le vieux pĂątre, Seul, tandis qu'Ă  ton front D'albĂątre Ses dogues aboieront. T'aimera le pilote Dans son grand bĂątiment, Qui flotte, Sous le clair firmament ! Et la fillette preste Qui passe le buisson, Pied leste, En chantant sa chanson. Comme un ours Ă  la chaĂźne, Toujours sous tes yeux bleus Se traĂźne L'ocĂ©an montueux. Et qu'il vente ou qu'il neige Moi-mĂȘme, chaque soir, Que fais-je, Venant ici m'asseoir ? Je viens voir Ă  la brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Peut-ĂȘtre quand dĂ©chante Quelque pauvre mari, MĂ©chante, De loin tu lui souris. Dans sa douleur amĂšre, Quand au gendre bĂ©ni La mĂšre Livre la clef du nid, Le pied dans sa pantoufle, VoilĂ  l'Ă©poux tout prĂȘt Qui souffle Le bougeoir indiscret. Au pudique hymĂ©nĂ©e La vierge qui se croit MenĂ©e, Grelotte en son lit froid, Mais monsieur tout en flamme Commence Ă  rudoyer Madame, Qui commence Ă  crier. Ouf ! dit-il, je travaille, Ma bonne, et ne fais rien Qui vaille; Tu ne te tiens pas bien. » Et vite il se dĂ©pĂȘche. Mais quel dĂ©mon cachĂ© L'empĂȘche De commettre un pĂ©chĂ© ? Ah ! dit-il, prenons garde. Quel tĂ©moin curieux Regarde Avec ces deux grands yeux ? » Et c'est, dans la nuit brune, Sur son clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Desmilliers d'Ă©toiles dans le ciel, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Et seulement, seulement une maman. Maman a tort de . Michel Bussi. RĂ©fĂ©rences de Michel Bussi - Biographie de Michel Bussi Plus sur cette citation >> Citation de Michel Bussi (n° 159400) - Ajouter Ă  mon
J’eus cette vision. Les siĂšcles sans repos Avaient passĂ© dans l’ombre, ainsi que des troupeaux Que le berger pensif ramĂšne Ă  leurs Ă©tables À l’heure oĂč, pour calmer nos maux inĂ©vitables, Descend sur nous l’obscur silence de la nuit. Dans le brillant palais du roi Zeus, reconstruit Au sommet d’un Olympe idĂ©al et cĂ©leste, Je vis les Dieux. Vainqueurs de cet exil funeste Que leur avait jadis imposĂ© le Destin, Ils Ă©taient rĂ©unis dans l’immortel festin Visible seulement pour le regard des sages, Et l’orgueil du triomphe Ă©tait sur leurs visages. Tout ouvert sur le vaste azur mystĂ©rieux Et laissant voir au loin les mondes et les cieux, Le palais, reconstruit dans sa forme premiĂšre, Était fait de splendeur intense et de lumiĂšre. Innombrables, penchant sur lui leurs fronts charmants, Fixant sur lui d’en haut leurs yeux de diamants, Les Constellations, les Étoiles-DĂ©esses, Les Astres-Dieux, laissant voler leurs blondes tresses De flamme dans l’éther qui n’était plus dĂ©sert, Unissaient leurs voix d’or en un tendre concert, Et, dansant et jouant dans les ondes sonores, Couraient d’un pas agile en portant des amphores. Dans le calme ocĂ©an aĂ©rien, vibrant Comme une lyre dont le doux rhapsode errant Éveille sous ses doigts les cordes amoureuses, Se baignaient en riant les Ăąmes bienheureuses. Sur la table des Dieux que paraient leurs couleurs, Brillait une forĂȘt rouge de grandes fleurs Ouvrant avec orgueil pour les apothĂ©oses Leurs calices d’amour, Ă©carlates et roses. Sur les plats de rubis et d’or Ă©blouissants, De beaux fruits merveilleux, sanglants et rougissants, OĂč rayonnait la pourpre avec sa frĂ©nĂ©sie, Montraient leur duvet clair et leur chair d’ambroisie. Le vin dormait, vermeil, dans les amphores d’or, D’oĂč, par milliers, courant en leur agile essor, Des nymphes aux beaux bras, formant de riants groupes, Avec des cris charmants le versaient dans les coupes. Et les Heures au haut du ciel oriental, Tressant diligemment leurs notes de cristal, Montaient et descendaient la gamme ardente encore De l’escalier sonore oĂč s’éveille l’Aurore. Rattachant Ă  la chaĂźne auguste chaque anneau Vivant du souvenir, ThĂ©a, Mousa, Hymno Chantaient. Elles disaient les gĂ©nĂ©alogies Des Dieux, les saintes Lois domptant les Énergies PremiĂšres, et comment TyphĂŽeus tout en feu Fut vaincu par le Roi rayonnant du ciel bleu Qui le prĂ©cipita dans le large Tartare. Elles disaient comment du noir Chaos barbare Put naĂźtre l’Harmonie Ă©ternelle, et comment Au firmament les clairs astres de diamant, EntraĂźnĂ©s par la joie amoureuse et physique Du nombre, sont la Lyre immense et la Musique Sans fin ! Les Immortels les Ă©coutaient, ravis, En savourant le vin vermeil, et je les vis ! Je vis Zeus que le Mal en sa haine dĂ©teste, Zeus ayant sur le front la lumiĂšre cĂ©leste ! Je vis les Rois-Soleils, les gloires de l’azur HĂ©raklĂšs radieux, vainqueur du monstre impur, Le beau Dionysos, dont le regard essuie Les cieux et fait tomber la bienfaisante pluie Qui s’élance, flot d’or, dans les pores ouverts De notre terre, et fait gonfler les bourgeons verts ; HypĂ©rion, qui fait planer sur nos dĂ©sastres Le mouvement toujours mĂ©lodieux des astres, Et celui que DĂšlos rĂ©vĂšre, Apollon-Roi, Le clair tĂ©moin, l’archer qui lance au loin l’effroi, Et qui donne Ă  la terre, oĂč son regard flamboie, Les chansons et l’orgueil des blĂ©s d’or et la joie. Puis je vis HermĂšs, qui, sur le mont dĂ©jĂ  noir, Vole avec art les gais troupeaux roses du soir ; Puis HĂ©phaistos, qui sait, ingĂ©nieux artiste, Sertir la chrysolithe en flamme et l’amĂ©thyste ; Puis ArĂšs effrayant, pour la Justice armĂ©, Qui sans repos s’élance au combat enflammĂ©, ArĂšs au cƓur d’airain qui combat pour la RĂšgle, Et dont le casque noir a les ailes d’un aigle. Eux et mille autres Dieux armĂ©s, beaux, rayonnants, Fils des Titans, guerriers au haut des cieux tonnants, Je les vis, et prĂšs d’eux, sereines dans leurs belles Demeures, je vis les DĂ©esses immortelles ! Je vis HĂ©rĂ© ; je vis, portant sur son manteau Les plaines, DĂ©mĂ©ter ; puis KorĂ©, puis LĂšto, Puis AthĂ©nĂ© dont l’Ɠil bleu, brillant de courage, Ressemble Ă  la clartĂ© du ciel aprĂšs l’orage ; La belle DionĂ©, ThĂ©tis, puis ArtĂ©mis, La Reine au fuseau d’or, plus blanche que les lys Et que l’ƒta couvert de neige et que les cygnes, Qui parcourt sur son char Claros fĂ©conde en vignes Et la fertile Imbros ; puis encor des milliers D’autres DĂ©esses, qui sur les bleus escaliers Triomphaient. Leurs beaux fronts parfois touchaient aux frises Du grand palais d’azur, et je les vis, assises Dans leur gloire sur leurs trĂŽnes d’or, ou debout, Reines de clartĂ©, dans la clartĂ©. Mais surtout Je la vis, celle dont la mer avec ses Ăźles Riantes rĂ©flĂ©chit les doux regards mobiles, Celle dont la prunelle est noire, et dont le corps Harmonieux, rhythmĂ© comme les purs accords Des sphĂšres, de clartĂ©s tremblantes s’illumine, L’auguste AphroditĂš, reine de Salamine ! Grande et svelte, et naĂŻve en son charme enfantin, Et portant sur son front la splendeur du matin, Ses lourds cheveux riants, dont la Nuit s’épouvante, Étaient comme la mer de feux Ă©blouissante. Son corps, nu, vigoureux, comme un grand lys Ă©clos, S’élançait adorable et poli sous les flots De cette toison folle, et, triomphant sans vaines Entraves, ses beaux seins aigus montraient leurs veines D’un pĂąle azur et leurs boutons de rose ardents. Ses cils courbĂ©s faisaient une ombre d’or. Ses dents Ressemblaient Ă  la neige oĂč le soleil se pose, Et ses lĂšvres de rose Ă©taient comme une rose. Ces lĂšvres, je les vis tout Ă  coup s’entr’ouvrir Comme une fleur au cƓur brĂ»lant qui va fleurir ; Penchant son cou rosĂ©, la reine de CythĂšre DĂ©licieusement regarda vers la terre. Ses yeux humides, noirs, mystĂ©rieux, oĂč luit Notre dĂ©sir, Ă©taient plus profonds que la nuit, Et, secouant ses lourds cheveux Ă©pars aux fines Lueurs d’or, elle dit ces paroles divines Homme ! ce n’était pas assez d’ĂȘtre pareils À toi ! nous les grands Dieux qui tenons les soleils Dans nos mains, et, Rois faits de lumiĂšre et de flamme, D’avoir tes yeux, ton front, ton visage et ton Ăąme ! Ce n’était pas assez d’ĂȘtre pareils Ă  toi Par le rhythme ailĂ©, par le chant qui t’a fait roi, Par l’orgueil de la pourpre en feu, par le dĂ©lire Du glaive, par la joie immense de la Lyre, Par les fureurs d’Éros, jaloux de nos autels, Qui triompha d’unir Ă  des hommes mortels Les DĂ©esses des cieux Ă  leur sang infidĂšles, Et de mĂȘme d’unir Ă  des femmes mortelles Les Dieux, de qui naissaient alors, jouet du sort, Des enfants beaux et fiers, mais sujets Ă  la mort. Non ! tu voulus aussi nous voir mourir nous-mĂȘmes ! Car tu gĂ©mis sur tes destins, et tu blasphĂšmes AmĂšrement tes Dieux, s’ils n’ont suivi tes pas Dans la nuit, et subi comme toi le trĂ©pas. Donc, chassĂ©s par ta haine, et pour que tu nous pleures Dans ton cƓur, nous avons fui nos belles demeures Pour l’exil ; nous avons, loin de nos clairs palais, Subi l’affreuse mort, puisque tu le voulais ! Et, nous ta vertu, nous ton dĂ©lice et ta gloire, EmportĂ©s loin des cieux jaloux par l’aile noire De l’orage, fuyant dans la brume des soirs, FantĂŽmes Ă©perdus qu’en leurs longs dĂ©sespoirs Suivaient sinistrement l’insulte et les huĂ©es, Nous flottions, errants, dans le frisson des nuĂ©es Et des fleuves, dans les forĂȘts et sur les monts Sourcilleux ; les mĂ©chants nous appelaient dĂ©mons, Et, frappĂ©s comme nous de ta haine si lourde, Le ciel Ă©tait aveugle et la terre Ă©tait sourde. Mais, sois bĂ©ni ! voici qu’en des Ăąges plus doux Les poĂštes nouveaux ont eu pitiĂ© de nous ! Tout est ressuscitĂ© dans l’aurore vermeille, Et la sainte Louange avec nous se rĂ©veille. Vois, le ciel est vivant, les astres sont vivants ; Une ode ivre de joie Ă©clate aux quatre vents. Partout, dans le flot clair et sur l’ñpre colline, Brille, nue en sa fleur, la beautĂ© fĂ©minine ; Les fleuves, tout emplis de rires ingĂ©nus, Se soulĂšvent, charmĂ©s, sous les jeunes seins nus Qu’on voit fuir et glisser vers les grottes obscures ; Chevelures d’azur et vertes chevelures, Les ondes, les rameaux frĂ©missent de plaisir. Tu ris Ă  l’univers que tu vas ressaisir ! Oui, c’est pour toi que les Ă©toiles resplendissent ; Devant tes yeux charmĂ©s des chƓurs dansants bondissent ; Tu revois dans l’eau vive et dans l’air agitĂ© Mille reflets divers de ta divinitĂ©, Et tu n’es plus seul ! dans nos palais grandioses L’échelle des hĂ©ros et des apothĂ©oses Qui joint la terre au ciel pour tes yeux Ă©clairci, Se relĂšve, sublime escalier d’or. Ainsi Les Dieux et l’Homme et la Nature au flanc sonore Sont comme une famille immense qui s’adore ; Et dans ce grand festin de la terre et des cieux Tandis que nous buvons le vin dĂ©licieux Et la force de vie intense qu’il recĂšle À la fĂ©licitĂ© de l’ñme universelle, EnivrĂ©s comme toi de sons et de rayons Dans l’immuable azur, Homme, nous te voyons, RevĂȘtu de nouveau de ta force premiĂšre, Puissant GĂ©nie ailĂ©, monter vers la lumiĂšre ! C’est ainsi que parla vers l’avenir naissant La grande AphroditĂš, caressante et laissant Courir sur son dos sa chevelure embaumĂ©e, Et les SphĂšres, suivant leur route accoutumĂ©e, Regardaient ses yeux noirs, carquois inĂ©puisĂ©s, Avec des tremblements et des bruits de baisers. GoĂ»tant les mets divins aprĂšs de si longs jeĂ»nes, Les grands Dieux se penchaient vers moi, bienveillants, jeunes, RĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s, heureux d’avoir, grĂące Ă  l’effort Des poĂštes, vaincu les horreurs de la mort, Et le joyeux titan Amour, levant sa coupe Que rougit le nectar, vers les Charites, groupe Adorable, naguĂšre encor du ciel banni, Disait Que l’Homme soit bĂ©ni ! que l’Infini PeuplĂ© d’Astres-amants pour lui n’ait plus de voiles ! Et j’entendis le chant merveilleux des Étoiles. Septembre 1866.
Quandle ciel éteindra ses étoiles avares, Pour éclairer l'espoir, l'homme a planté des phares. Sur les rocs, les écueils, la pointe des ßlots ; DÚs que meurt le soleil, la cÎte illuminée. Déploie avec lenteur une large traßnée. De sa lumiÚre ardente à l'horizon des flots. Si le ciel est peuplé d'étoiles inutiles,
Des milliers de lumiÚres par Rickways Votre navigateur ne supporte pas le lecteur mp3. par Jmd Lorsque la nuit domine les rayons du soleil Que la chaleur s'enfuit dans un courant de glace Lorsque le temps culmine vers une année sommeil Que décembre envahit dans une derniÚre trace Des milliers de lumiÚres envahissent le ciel Des milliers de lumiÚres naissent aux couleurs de miel Noël c'est une étoile dans le coeur des hommes Un instant de magie aux yeux qui brillent comme Des perles de rosée, souvenir de l'esprit Venues émerveiller nos derniers jours de gris. Des milliers de lumiÚres envahissent le ciel Des milliers de lumiÚres naissent aux couleurs de miel PoÚte InterprÚte
Cerisesur le gùteau, il m'a récité le poÚme appris en classe pour cette occasion : "Une maman . Des milliers d'étoiles dans le ciel. Des milliers d'oiseaux dans les arbres. Des milliers de fleurs au jardin. Des milliers d'abeilles sur les fleurs. Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement,

analyse et crĂ©ation d'une poĂ©sie dans le cadre de la fĂȘte des mĂšres Objectif - Écrire un texte de type poĂ©tique en obĂ©issant Ă  une ou plusieurs consignes prĂ©cises. Relation avec les programmes Cette sĂ©quence n'est pas associĂ©e aux programmes. DĂ©roulement des sĂ©ances SĂ©ance 1 CrĂ©ation d'un poĂšme - Ecriture, 35 minSĂ©ance 2 Mise en valeur du poĂšme - Ecriture, 30 min 1 CrĂ©ation d'un poĂšme DerniĂšre mise Ă  jour le 22 mai 2016 Discipline / domaine EcritureObjectif - Écrire un texte de type poĂ©tique en obĂ©issant Ă  une ou plusieurs consignes 35 minutes 3 phasesMatĂ©riel feuille avec 3 poĂ©sies proposĂ©es 2 "accumulations" et 1 acrostiche Cahier d'entrainementInformations thĂ©oriques Une maman Des milliers d'Ă©toiles dans le ciel, des milliers d'oiseaux dans les arbres, des milliers de fleurs dans les jardins, des milliers d'abeilles sur les fleurs, des milliers de coquillages sur la plage, des milliers de poissons dans la mer et seulement seulement Une maman. Maman, Tu sais m'aider, Tu sais m'encourager, Tu sais me protĂ©ger, Tu sais me consoler, Tu sais m'apprendre, Tu sais me comprendre, Tu sais me dĂ©tendre, Tu sais me retenir, Tu sais me soutenir, Tu m'aimes et je t'aimeRemarques 2 enseignants 1. DĂ©couverte des poĂšmes 5 min. dĂ©couverte Les Ă©lĂšves ont la feuille sous les yeux. L'enseignante lit les classe entiĂšre on analyse la structure des Ă©lĂšve choisi un modĂšle de poĂšme qui l'inspire crĂ©ation de groupes 2. Recherche d'idĂ©es 15 min. recherche Par groupe les Ă©lĂšves cherchent des groupes nominaux poĂšme 1, des verbes poĂšme 2, des adjectifs poĂšme 3 3. rĂ©daction du poĂšme 15 min. rĂ©investissement Chaque Ă©lĂšve crĂ©e son propre poĂšme 2 Mise en valeur du poĂšme DerniĂšre mise Ă  jour le 22 mai 2016 Discipline / domaine EcritureObjectif - En particulier, copier avec soin, en respectant la mise en page, un texte en prose ou poĂšme appris en 30 minutes 2 phasesMatĂ©riel Carton noir A5 pages d'Ă©criture en français, japonais, arabe, cyrillique, notes de musique feuille A5 blanche pour recopier le poĂšme chaterton / scotch noirRemarques faire un modĂšle pour le prĂ©senter aux Ă©lĂšves 1. Mise en valeur du poĂšme 10 min. rĂ©investissement Une fois le poĂšme créé, recopiez le proprement sur la feuille blanche 2. CrĂ©ation de la carte 20 min. rĂ©investissement DĂ©chirez les pages d'Ă©criturecollez les au recto de la feuille cartonnĂ©e noireau verso collez la feuille blanche avec votre poĂšmel'enseignante crĂ©era un cadre avec du chatterton noir Voir plus sur Edumoov

Desmilliers d'étoiles dans le ciel Des milliers d'oiseaux dans les arbres Des milliers de fleurs dans les jardins Des milliers d'abeilles sur les fleurs. Mais seulement, seulement Seulement, seulement Seulement, Par milliers aussi les coquillages Par millions nagent tous les poissons Mais il est un seul personnage
89 poĂšmes <23456Synonymes Dieu ProvidencePhonĂ©tique Cliquez pour la liste complĂšte cela celai celais celait celas celĂąt celĂ© cĂšle celĂ©e celĂ©es celĂ©s cĂšles cella cellas celle celles celui celui-lĂ  ciel ciels cil ciliĂ© ciliĂ©e ciliĂ©es ciliĂ©s cilla cillai cillais cillait ... Au pied des monts voici ma colline abritĂ©e, Mes figuiers, ma maison, Le vallon toujours vert et la mer argentĂ©e Qui m'ouvre l'horizon. Pour la premiĂšre fois sur cette heureuse plage, Le cƓur tout Ă©perdu, Quand j'abordai, c'Ă©tait aprĂšs un grand naufrage, OĂč j'avais tout perdu. DĂ©jĂ , depuis ce temps de deuil et de dĂ©tresse, J'ai vu bien des saisons Courir sur ces coteaux que la brise caresse, Et parer leurs buissons. Si rien n'a refleuri, ni le prĂ©sent sans charmes, Ni l'avenir brisĂ©, Du moins mon pauvre cƓur, fatiguĂ© de mes larmes, Mon cƓur s'est apaisĂ© ; Et je puis, sous ce ciel que l'oranger parfume Et qui sourit toujours, RĂȘver aux temps aimĂ©s, et voir sans amertume NaĂźtre et mourir les memoriam III PoĂšmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poĂšme Voter pour ce poĂšme 246 votes J'aime Ă  changer de cieux, de climat, de lumiĂšre. Oiseau d'une saison, je fuis avec l'Ă©tĂ©, Et mon vol inconstant va du rivage austĂšre Au rivage enchantĂ©. Mais qu'Ă  jamais le vent bien loin du bord m'emporte OĂč j'ai dans d'autres temps suivi des pas chĂ©ris, Et qu'aujourd'hui dĂ©jĂ  ma fĂ©licitĂ© morte Jonche de ses dĂ©bris ! Combien ce lieu m'a plu ! non pas que j'eusse encore Vu le ciel y briller sous un soleil pĂąli ; L'amour qui dans mon Ăąme enfin venait d'Ă©clore L'avait seul embelli. HĂ©las ! avec l'amour ont disparu ses charmes ; Et sous ces grands sapins, au bord des lacs brumeux, Je verrais se lever comme un fantĂŽme en larmes L'ombre des jours heureux. Oui, pour moi tout est plein sur cette froide plage De la prĂ©sence chĂšre et du regard aimĂ©, Plein de la voix connue et de la douce image Dont j'eus le coeur charmĂ©. Comment pourrais-je encor, dĂ©solĂ©e et pieuse, Par les mĂȘmes sentiers traĂźner ce coeur meurtri, Seule oĂč nous Ă©tions deux, triste oĂč j'Ă©tais joyeuse, Pleurante oĂč j'ai souri ?In memoriam I PoĂšmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poĂšme Voter pour ce poĂšme 243 votes<23456Les poĂšmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poĂštes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

PoĂšmeet poĂ©sie - FĂȘte des mĂšres: Une maman - Ce1 - Cycle 2 Une maman Des milliers d'Ă©toiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. AudrĂ© Bay

I Je sors, Il y a des milliers de pierres dans le ciel, J'entends De toute part le bruit de la nuit en crue. Est-il vrai, mes amis, Qu'aucune Ă©toile ne bouge? Est-il vrai Qu'aucune de ces barques pourtant chargĂ©es D'on dirait plus que la simple matiĂšre Et qui semblent tournĂ©es vers un mĂȘme pĂŽle Ne frĂ©misse soudain, ne se dĂ©tache De la masse des autres laissĂ©e obscure? Est-il vrai Qu'aucune de ces figures aux yeux clos Qui sourient Ă  la proue du monde dans la joie Du corps qui vaque Ă  rien que sa lumiĂšre Ne s'Ă©veille, n'Ă©coute? N'entende au loin Un cri qui soit d'amour, non de dĂ©sir? II Elle ouvrirait, sans bruit, Elle se risquerait dans le vent de mer Telle une jeune fille qui sort de nuit Soulevant une lampe qui rĂ©pand Sa clartĂ©, qui l'effraye aussi, sur ses Ă©paules, Et se retourne, mais le monde va sans rĂ©ponse, Le bruit des pas de ceux qui devraient ouvrir Leur porte sous les arbres, et la rejoindre Ne sonne pas encore dans la vallĂ©e. Les choses sont si confiantes pourtant, L'agneau si complaisant Ă  la main qui tue, Et les regards sont si intenses parfois, Les voix se troublent si mystĂ©rieusement quand on prononce Certains mots pour demain, ou au secret Des fiĂšvres et des invites de la nuit. Est-il vrai que les mots soient sans promesse, Éclair immense en vain, Coffre qui Ă©tincelle mais plein de cendres? III En d'autres temps, mes amis, Nous aurions Ă©coutĂ©, ne parlant plus Soudain, Bruire la pluie de nuit sur les tuiles sĂšches. Nous aurions vu, courbĂ© Sous l'averse, courant La tĂȘte protĂ©gĂ©e par le sac de toile, Le berger rassembler ses bĂȘtes. Nous aurions cru Que le couteau de la foudre dĂ©vie Parfois, compassionnĂ©, Sur le dos laineux de la terre. Nous aurions aperçu, qui se dispersent Chaque fois que c'est l'aube, Les rĂȘves qui dĂ©posent, couronnĂ©s d'or, Leur Ă©tincellement prĂšs d'une naissance. IV Et fĂ»t-elle venue S'asseoir auprĂšs de nous, l'incohĂ©rente, La vieille qui n'a plus que le souvenir, Reste, l'un d'entre nous EĂ»t dit, reste, dĂ©tends tes mains noircies par la fumĂ©e, Parle-nous, instruis-nous, ĂŽ vagabonde. Le ciel Ă©tait scellĂ© pourtant, comme aujourd'hui, La barque de chaque chose, venue chargĂ©e D'un blĂ© du haut du monde, restait bĂąchĂ©e À notre quai nocturne, brillant Ă  peine De simplement la pluie dans le vent de mer. Et on rentrait le soir les mĂȘmes bĂȘtes lasses, La mort Ă©tait servante parmi nous À recueillir le lait qui a goĂ»t de cendre. V Je sors. Je rĂȘve que je sors dans la nuit de neige. Je rĂȘve que j'emporte Avec moi, loin, dehors, c'est sans retour, Le miroir de la chambre d'en haut, celui des Ă©tĂ©s D'autrefois, la barque Ă  la proue de laquelle, simples, Nous allions, nous interrogions, dans le sommeil D'Ă©tĂ©s qui furent brefs comme est la vie. En ce temps-lĂ  C'est par le ciel qui brillait dans son eau Que les mages de nos sommeils, se retirant, RĂ©pandaient leurs trĂ©sors dans la chambre obscure. VI Et la beautĂ© du monde s'y penchait Dans le bruissement du ciel nocturne, Elle mirait son corps dans l'eau fermĂ©e Des dormeurs, qui se ramifie entre des pierres. Elle approchait bouche et souffle confiants De leurs yeux sans lumiĂšre. Elle eĂ»t aimĂ© Qu'au repli de sa robe fermĂ©e encore Paraisse sous l'Ă©paule le sein plus clair, Puis le jour se levait autour de toi, Terre dans le miroir, et le soleil Ourlait ta nuque nue d'une buĂ©e rouge. Mais maintenant Me voici hors de la maison dont rien ne bouge Puisqu'elle n'est qu'un rĂȘve. Je vais, je laisse N'importe oĂč, contre un mur, sous les Ă©toiles, Ce miroir, notre vie. Que la rosĂ©e De la nuit se condense et coule, sur l'image. VII Ô galaxies Poudroyantes au loin De la robe rouge. RĂȘves, Troupeau plus noir, plus serrĂ© sur soi que les pierres Je vais, Je passe prĂšs des amandiers sur la terrasse. Le fruit est mĂ»r. J'ouvre l'amande et son cƓur Ă©tincelle. Je vais. Il y a cet Ă©clair immense devant moi, Le ciel, L'agneau sanglant dans la paille. Yves Bonnefoy

RĂȘverd'Ă©toile dans la maison est une menace. une Ă©toile scindĂ©e. Quelle est belle la vie ! Lithographie - Nicht signiert - etwa 1000 Exemplare - 1986 Sam Francis Original lithograph, unsigned, on paper, 1986 Size 56 x 76 cm Perfect condition Printed by: Atelier Desjobert Reference: Catalogue raisonnĂ© L273 Printed note on the lower right: "Lithographie

Il n'y a rien de plus beau que de jolis poĂšmes d'amour , Ă©talĂ©s sur du papier et dit avec sincĂ©ritĂ© , pour dĂ©clarer son amour Ă  la personne aimĂ© ! Il existe un monde merveilleux ou aimer est la seule loi , cette endroit est dans le coeur de chacun de nous , il suffit d'y croire trĂšs fort ! Quand un homme veut conquĂ©rir une femme il faut pour cela qu'il lui montre du respect , qu'il le prouve par des actions et des gestes tendres et surtout qu'il la fasse rĂȘver , lui montrer qu'elle est la seule qui compte Ă  ses yeux ! Cette nuit je veux ĂȘtre une fĂ©e pour te faire rĂȘver , avec ma baguette magique ta nuit sera unique , je te ferai oublier ta journĂ©e dans un tendre baiser ......... Avant on passait des nuits entiĂšres ensemble a discuter et maintenant tu les passe avec d'autres , la vie est ainsi faite , tu m'as oubliĂ© dans un coin de ta mĂ©moire ....... Je suis cette fine poussiĂšre d'Ă©toile qui va te faire rĂȘver en t'inondant d'amour ! Je suis ton Ăźle inexplorĂ©e qui attend ton arrivĂ© , ton bateau va accoster sur mon rivage et en parcourir tous les contours , tu en sera le seul explorateur et le maĂźtre des lieux ...... Je suis ....... Je suis cette poĂ©tesse qui Ă©crit avec tendresse J'etale les poĂšmes d'amour comme des caresses , Je les dessine , les imagine , Les Ă©tale sur le papier pour te faire rĂȘver , Je suis aussi cette femme romantique , Qui rĂȘve d'un amour unique , MalgrĂ© que de nos jours les gens ne savent plus aimer , Je crois au destin , Je sais qu'au croisement d'un chemin , Chaque personne trouve son binĂŽme , Il suffit d'ouvrir son coeur et laisser entrer le bonheur sans avoir peur ! Je suis une goutte d'eau , Qui glisse sur ta peau , Je suis le soleil qui rĂ©chauffe ton corps , En te faisant frissonner , De la tĂȘte au pied , Je suis les Ă©toiles qui te font rĂȘver , Et t'emporteront au bout du monde , Je suis cette femme qui t'aimera , Jusqu'au bout de la nuit et si tu le veux toute la vie ! Regarde ........ Regarde mes yeux ils sont chaleureux , Quand je pense Ă  toi ils sont lumineux , Ils disent tout sans parler , Regarde les et lis la passion que tu inspires , Dedans tu y verras le dĂ©sir , Regarde mes yeux le soleil en a fait sa maison , Ils vont te rĂ©chauffer , Te faire rĂȘver , Te faire frissonner , Sur toi ils se promĂšneront avec tendresse , Ils t'apporteront beaucoup de bonheur , Tous mes regards ne sont que pour toi , Rien que pour toi ! Quand tu aimes ..... Quand tu aimes tu ne dois pas juger , Tu dois ĂȘtre au cĂŽtĂ© de la personne aimĂ© , La soutenir et la protĂ©gĂ©e , Il faut qu'elle sache que tu es lĂ  , Dans l'ombre de ses pas , Que malgrĂ© tous les problĂšmes tu ne la quittera pas , Aimer c'est aussi pardonner et tout recommencer , Surtout c'est beaucoup aimer , Partager les mauvais et les bons moments , C'est pleurer en mĂȘme temps et rire en duo , C'est une fusion entre deux ĂȘtres , Aimer c'est se donner entiĂšrement sans rien demander ! BientĂŽt ....... Les mimosas sont dĂ©jĂ  en fleurs , Et nous parfume de leurs odeurs , Cela sent l'arrivĂ©e du printemps , Que l'on attend impatiemment , Les oiseaux gazouillent pour faire venir le beau temps , Les amoureux se promĂšnent main dans la main , Suivant le mĂȘme chemin , Le soleil chauffe avec douceur , Nous apportant que du bonheur , Avec la douce brise du vent , Arrive des milliers de bisous , Qui viennent se dĂ©poser sur nos joues , Et nous faire rĂȘver ! L'amour virtuel ....... L'amour virtuel peut devenir rĂ©el , Il suffit de se rencontrer de s'apprĂ©cier et de s'aimer , De partager ce doux sentiment , Que l'on ne trouve pas souvent , Surtout ne pas rater le rendez-vous de l'amour Il ne te resterait que des regrets et tes yeux pour pleurer ! Quand on est amoureux ...... Quand on est amoureux dans notre cƓur s'allume une petite flamme , Dans nos yeux le ciel est toujours bleu , On frissonne quand le tĂ©lĂ©phone sonne , Un message de la personne aimĂ© , Et tout notre corps se met a trembler , L'amour est un sentiment merveilleux , Qui rend la vie magnifique et fĂ©erique ! Dans un regard ........ Dans un regard on peut tout y voir , La peine que l'on peut avoir , L'amour que l'on peut donner , Fort et passionnĂ© , Moi dans ton regard je me noie , Tes yeux me font voyager , Ils me font tout oublier , Ton regard c'est ma mĂ©diterranĂ©e , L'endroit ou j'aime naviguer , Mon regard est prisonnier du tien , Il ne peut s'en dĂ©tacher , A toi il est liĂ© , Je vis dans tes yeux un rĂȘve merveilleux ! On rĂȘve ....... On est beaucoup a rĂȘver d'une personne avec qui partager de belles soirĂ©es , Un petit dĂźner romantique Ă  ne jamais oublier , Faire une promenade sur la plage en se donnant la main et oubliant demain Sentir ce doux frisson nous envahir quand nos doigts se serrent , Nous dessinant sur le visage un beau sourire , On rĂȘve tous d'un baiser donnĂ© avec beaucoup de sincĂ©ritĂ© et passionnĂ© ne finissant jamais , Avec la personne aimĂ© nos nuits deviendront merveilleuses et nos journĂ©es joyeuses On attend cette personne qui changera notre vie et fera briller le soleil mĂȘme quand le ciel est gris ! Aujourd'hui ....... Un vent glacial a envahi le pays , Il fait trĂšs froid mĂȘme la nuit , L'eau des fontaines en coulant fait un joli bruit Parfois on entend un oiseau qui lance un petit cri , Ce soir bien au chaud dans mon lit , Je vais rĂȘver de toi toute la nuit , Tout doucement tu vas envahir mon sommeil Jusqu'au petit matin , Quand sonnera mon rĂ©veil ! Sur ma plage ....... Sur ma plage Ă  HyĂšres , Pleine de coquillages et de sable fin , Je nous imagine tous les deux assis sous les palmiers , Le soleil nous rĂ©chauffant , Un moment ensorcelant , Un verre de jus de fruit Ă  la main , On oubliera tous nous soucis , On s'aimera sans se cacher , Le chant des cigales nous charmera , Le bonheur nous submergera , Cette nuit nous seront fous , Aucun tabou ! Un ange ....... Quand je m'endors chaque soir , Un ange vient me voir , Fini le dĂ©sespoir , Il me redonne de l'espoir , Pour toi je veux ĂȘtre cet ange , Qui veillera sur toi quand tu dormiras , Je te tiendrai chaud quand tu auras froid , Je te ferai sourire mais jamais pleurer , Je te protĂ©gerai du monde entier , Je serai cet ange toujours Ă  tes cĂŽtĂ©s , Un ange nĂ© pour t'aimer ! La tendresse ....... La tendresse c'est un petit geste tout en dĂ©licatesse , C'est te prendre dans mes bras en te serrant , C'est dĂ©poser un bisou sur ta joue tendrement , La tendresse c'est un sourire que je te donnerai en te regardant , Doux et aimant , C'est te prendre la main et te faire passer tous mes sentiments , Profond et puissant , La tendresse c'est du bonheur qu'on aimerait garder longtemps , La tendresse c'est tout simplement t'aimer , Te faire tout oublier , faire de ta vie un vrai PARADIS ! Ce soir ....... LĂ©ger comme les ailes des papillons , Mon souffle effleurera ta peau , Mes mains seront de douces caresses , Glissant dans tes cheveux toute en finesse Et voyageant tout en tendresse , Je te donnerai des bisous au goĂ»t sucrĂ©s , Je rendrai ta vie merveilleuse , Je la peindrai avec les couleurs de l'amour Pour te rendre magique chaque jour , Et faire que ce bonheur dure toujours ! Le dĂ©sert ....... Le dĂ©sert un endroit mystĂ©rieux , Et en mĂȘme temps merveilleux , Un endroit ou l'esprit peut se reposer , Un endroit ou l'on peut rĂȘver , Sans ĂȘtre dĂ©rangĂ© , Avec un stylo et du papier , DĂ©poser toutes nos pensĂ©es , Un endroit entre ciel et terre , Qui nous fait penser Ă  un autre univers , Un endroit ou l'on peut s'Ă©vader , Dans le calme et la sĂ©rĂ©nitĂ© , Je peux mĂȘme t'imaginer , Tu es un beau cavalier , Arrivant au loin , Pour m'emporter dans ton pays lointain ! Quand on aime ...... Quand on aime c'est comme une grande fontaine de chocolat , On est dĂ©bordant de douceur , DĂ©goulinant de bonheur , On a le cƓur chaud et bouillonnant , On est beau a regarder car l'amour fait rayonner , Pour lui je veux ĂȘtre cette douceur , Ce petit bonheur sucrĂ© , Il sera mon chocolat que je veux dĂ©guster , Savourer et surtout beaucoup aimer , Sans m'arrĂȘter ! Mon amour ........ Regarde mes yeux , Quand je pense Ă  toi ils deviennent merveilleux Ils brillent comme des milliers d'Ă©toiles par une belle nuit , Ils sont remplis d'amour et d'envies , Il y a un volcan qui s'est allumĂ© en eux , Tu y a mis le feu , Qui brĂ»le comme dans une cheminĂ©e , Mes yeux ne sont fait que pour te regarder , Pour toi ils vont se consumer , Car en eux tu as rĂ©veillĂ© la passion , Qui ne s'Ă©teindra jamais ! Toi ....... On ne se connait que par nos claviers , On a créé une belle amitiĂ© , On partage ensemble des photos , des textes et de la poĂ©sie , On se parle de nos vies , On peut aussi rencontrer l'amour au dĂ©tour , C'est du soleil dans notre cƓur quand il fait gris dehors , Quand on se sent seul c'est du rĂ©confort , C'est lĂ  que je t'ai rencontrĂ© , Par mon clavier , Je t'ai apprĂ©ciĂ© , Toi l'amie de l'autre cĂŽtĂ© , Peut ĂȘtre qu'un jour on prendra ensemble le cafĂ© de l'amitiĂ© ! Pour ĂȘtre prĂšs de toi ........ Pour ĂȘtre prĂšs de toi je deviendrai ton ombre , Je ne ferai aucun bruit ,, Par la pensĂ©e on sera ensemble mĂȘme la nuit Tu ne m'entendra pas mais je serai lĂ  , Je serai cette femme qui veillera sur toi , Sans demander quoi que ce soit , Tout mes regards t'appartiennent , Le sang dans mes veines , Est une tempĂȘte d'amour qui coule rien que pour toi , C'est une riviĂšre sauvage ou partout il y a ton image , Mon cƓur est ta maison , Je veux ĂȘtre ton port d'attache , Quand tu jettera l'ancre pour te poser , Toujours je t'attendrai !
UneMaman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. AndrĂ© Bay 0 0 Partager 241 PoĂšmes de jour de mĂšres
ExpĂ©diteur Conversation ISABELLE59 EnvoyĂ© le 9/3/2021 847 Mascotte d'OasisInscrit le 14/12/2011De DUNKERQUEEnvois 17025 La bonne Ă©toile...Et si cette Ă©toile dans le ciel de nuit...c'Ă©tait toi, l'ange gardien de ma vie...cette lumiĂšre scintillant en solitaireparmi d'autres cherchant Ă  me seule dans cette myriade lumineusesait tout de moi et de mon nu intĂ©gral...les cieux sont cet immense confessionnal oĂč le malin s'infiltre et tente la ruse..Et si cette Ă©toile dans le ciel de nuit...c'Ă©tait l'espoir ayant passĂ©e sa robe du soirau petit matin persiste l'envie d'y croire du coin de l'oeil la rosĂ©e matinale j'Ă©pie...Une seule dans cette myriade lumineuseallume la flamme de mon cierge blanccelui qui brĂ»le pour l' Ă©ternellementprier jusqu'Ă  ce que le doute s'enlise...Et si cette Ă©toile dans le ciel de nuit...c'Ă©tait cet angelot ouvrant la bibledes lunettes sur le nez pour faire jolicar lĂ  haut tout est certainement plus lisible...Une seule dans cette myriade lumineuse ...elle ne peut pas ĂȘtre cette filante d'argentcar celui ou celle qui file, s'en va fatalementet ma bonne Ă©toile ne peut ĂȘtre que courageuse...Isabelle le 09 mars 2021- dolores EnvoyĂ© le 9/3/2021 850 ModĂ©ratriceInscrit le 24/8/2009De france 06 Alpes-MaritimesEnvois 29887 Re La bonne Ă©toile...Un joli coin de lumiĂšre qui illumine la nuit jolie petite Ă©toile merci du partage chĂšre Isabelle douce journĂ©e amitiĂ©s bises - NoireLune EnvoyĂ© le 9/3/2021 851 Mascotte d'OasisInscrit le 20/11/2011De OĂč le rĂȘve rit...Envois 30886 Re La bonne Ă©toile... Bonjour Ă  vous... ISABELLE59C'est sans doute cette bonne Ă©toile qui vous a fait Ă©crire un si joli poĂšme... TrĂšs Amicalement...NL... -La PoĂ©sie ça sert Ă  faire du bien...ça dĂ©noue le nĂ©gatif...et ça devrait ĂȘtre remboursĂ© par la sĂ©curitĂ© sociale... poetal EnvoyĂ© le 9/3/2021 913 Plume de platineInscrit le 20/10/2015De Envois 7862 Re La bonne Ă©toile... anonyme EnvoyĂ© le 9/3/2021 939 Re La bonne Ă©toile...une Ă©toile joliment inspiratrice ROLLANDPOEME EnvoyĂ© le 9/3/2021 946 Plume de platineInscrit le 24/1/2015De Envois 3257 Re La bonne Ă©toile...Certaines ondes doivent guider notre destinĂ©e, peut-ĂȘtre les Ăąmes de nos ancĂȘtres ou une force surnaturelle ! HĂ©las parfois le doute s'installe quand le ciel devient d'une noirceur journĂ©eRolland islander EnvoyĂ© le 9/3/2021 949 Mascotte d'OasisInscrit le 11/4/2009De Baltimore, BretagneEnvois 53398 Re La bonne Ă©toile...les Ă©toiles nous Ă©clairent, particuliĂšrement sous votre plume, merci de partage touchant,yann joelle59 EnvoyĂ© le 9/3/2021 1143 Plume de platineInscrit le 1/11/2010De Envois 9802 Re La bonne Ă©toile...Une bonne Ă©toile dans un merveilleux Ă©crin poetique !!-AmitiĂ©s JoĂ«lle daniel46 EnvoyĂ© le 9/3/2021 1146 Plume de platineInscrit le 5/7/2005De Au confins du MĂ©doc GirondeEnvois 6778 Re La bonne Ă©toile...TrĂšs joli, trĂšs doux et plein d'espoirUn petit bijou de poĂ©sie -Science sans conscience n'est que ruine de l'Ăąme Rabelais franie EnvoyĂ© le 9/3/2021 1433 Plume de diamantInscrit le 28/5/2012De BRETAGNEEnvois 33454 Re La bonne Ă©toile...Bonjour IsabelleCette Ă©toile est la votre, laissez vous guider. Amicalement Franie - EvilFranck EnvoyĂ© le 9/3/2021 1726 Plume de diamantInscrit le 8/7/2013De PandoreEnvois 62900 Re La bonne Ă©toile...Bonjour Isabelle, une Ă©toile qui Ă©claire le tracĂ© de la plume AmitiĂ©s -La poĂ©sie, c'est comme la cuisine, le mot faitout 00063312-1 poemic EnvoyĂ© le 9/3/2021 1730 Mascotte d'OasisInscrit le 30/10/2008De franche comtĂ©Envois 28912 Re La bonne Ă©toile...Une Ă©toile qui Ă©claire la vieĂ  travers de dĂ©licieux vers !Belle soirĂ©e ...Ă©toilĂ©eAmitiĂ©s -MON 2eme RECUEIL...JE TE PORTE L'AUBE..EST DISPONIBLE.. cyrael EnvoyĂ© le 9/3/2021 1740 Mascotte d'OasisInscrit le 30/10/2005De ****Envois 75139 Re La bonne Ă©toile...les Ă©toiles nous ont fait rĂȘver comme ce merveilleux poĂšme ..l'Ă©toile est lĂ  , il faut garder espoirviendront des jours plus heureux ______Et si cette Ă©toile dans le ciel de nuit...c'Ă©tait l'espoir ayant passĂ©e sa robe du soirnous le souhaitons -belle journĂ©e aux poĂštes berrichonne EnvoyĂ© le 10/3/2021 1348 Plume de diamantInscrit le 17/6/2008De Envois 13718 Re La bonne Ă©toile...Une belle Ă©toile guide ta main ou...peut-ĂȘtre un ange ???En tout cas, joliment poĂ©tisĂ© ton ressenti. MichĂšle-La vie est belle il faut savoir l'apprĂ©cier. sylvianni EnvoyĂ© le 10/3/2021 1722 Plume d'orInscrit le 20/6/2015De Envois 1913 Re La bonne Ă©toile...Une trĂšs belle poĂ©sie d'espoir, racontĂ©e avec coeur-sylvianni ziriab EnvoyĂ© le 10/3/2021 1844 Plume de platineInscrit le 26/9/2015De Envois 2632 Re La bonne Ă©toile...une belle Ă©toile parmi des milliers mais trĂšs illuminante va droit au cƓur mes amitiĂ©s ziriab Aidan EnvoyĂ© le 12/3/2021 1913 Plume d'orInscrit le 26/2/2015De Envois 851 Re La bonne Ă©toile...Bonsoir Isabelle,TrĂšs belle poĂ©sie; romantique et mĂ©taphysique..."et ma bonne Ă©toile ne peut ĂȘtre que courageuse..."...Bravo Ă  vous, merci Esperances EnvoyĂ© le 13/3/2021 649 Plume de platineInscrit le 7/12/2019De Envois 4254 Re La bonne Ă©toile...Bonjour IsabelleLes Ă©toiles semblent superbement vous inspirer .J'ai trouvĂ© ma bonne Ă©toile dans cette belle poĂ©sie qui dĂ©file comme une eau limpide d'un pour le beau les mots pour regarder le monde dans toute sa beautĂ©, ses dĂ©tails et sa fragilitĂ© ?- Chateaubriand yoledelatole4 EnvoyĂ© le 13/3/2021 708 ModĂ©rateurInscrit le 15/3/2010De lĂ  oĂč personne ne revient ....Envois 25423 Re La bonne Ă©toile...Bonjour Isabelle je pense j espĂšre avoir tous notre belle Ă©toile Un texte qui Fait rĂȘver Mes amitiĂ©s Yohann -la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,yohann Thogomez EnvoyĂ© le 13/3/2021 724 Plume de platineInscrit le 12/3/2014De Envois 2263 Re La bonne Ă©toile...C'est une superbe poĂ©sie oĂč au firmament brille sagement votre belle Ă©toile , en vous apportant tendresse et dĂ©licatessepour le bonheur de votre vie .Bravo !!! - ZAGHBENIFE EnvoyĂ© le 13/3/2021 823 Mascotte d'OasisInscrit le 7/11/2015De ALGEREnvois 28423 Re La bonne Ă©toile...une Ă©toile qui illumine et qui s'illumine pour crĂ©er la joie de l'autre - Sybilla EnvoyĂ© le 30/3/2021 1812 ModĂ©ratriceInscrit le 27/5/2014De Envois 67789En ligne Re La bonne Ă©toile...Bonjour Isabelle,Cette Ă©toile lumineuse t'a inspirĂ© une magnifique poĂ©sie ! Belle journĂ©e !Toutes mes amitiĂ©sSybillaDouce journĂ©e !Toutes mes amitiĂ©sSybilla -Le rĂȘve est le poumon de ma vie. Citation de Sybilla
PoĂšmeet poĂ©sie – FĂȘte des mĂšres: Une maman – Ce1 – Cycle 2 Une maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. AudrĂ© Bay

Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans le jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur la plage, Des milliers de poissons dans les mers,Et seulement, seulement, Une maman à qui je fais des milliers de bisous

Unemaman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay J'aime ce texte. 56. Partager ce texte sur : Twitter
poĂšmes tu me manques court 2014 poĂšme tu me manques 1 Tu es tellement dans mes pensĂ©es De toi je ne peux pas m'empecher de songer Tu hante mes nuits Tu es tout ce que je suis poĂšme tu me manques court 2014 Tu me manques Au point d'avoir perdue toutes mes marques Je fais l'innocente Mais en faite j'ai mal de cette absence Mes larmes veulent couler Mais je me retiens pour l'Ă©ternitĂ© A chaque fois le mĂȘme mot reviens A fois cette distance me retient Je sais avoir fait le bon choix Pour l'Ă©ternitĂ© cette fois. Je T'aime poĂšme tu me manques 3 Je suis trop amoureuse Ton amour me rend tellement heureuse Je suis sur mon petit nuage DĂ©jĂ  entrain de rĂȘvĂ© de notre mariage Dans mes yeux brillent des milliers d'Ă©toiles J'aimerai que jamais notre ciel se voile poĂšme tu me manques court 4 Dans le ciel Ă©toilĂ© J'y ai vu un ĂȘtre Ă©merveillĂ© Il me regardait amoureusement Et moi je lui souriait timidement J'ai ouvert ma fenĂȘtre Pour pouvoir laisser rentrer mon ĂȘtre Il s'est approcher de moi Mon cƓur Ă©tait en Ă©moi Puis il m'a embrassĂ© Et c'est lĂ  que notre amour Ă  commencer poĂšme tu me manques 5 Chaque jour, je vis un rĂȘve Chaque nuit , je rĂȘve que tu m'enlĂšve Que tu me disse que tout va bien Que tu veille que je ne manque de rien Tes lĂšvres tendrement posĂ©es sur les miennes A jamais je serai tienne sms tu me manques 2013 Tu me manques tellement Je t'aime Ă©normĂ©ment Toi et Moi Nous avons fait notre choix De vivre un amour Ă©ternel EmmĂšne moi au pays des merveilles Moi aussi j'ai des problĂšmes d'adultes Je T'aime tellement trop que j'arrive pas Ă  te sortir de mes pensĂ©es nuits et jours et que toi tu ne le sauras jamais car mĂȘme si je te l'aurais dit, te connaissant, tu m'aurais ignorĂ©... Toutes les Ă©toiles qui brillent dans le ciel, se sont tous le baisĂ©s que je t'envoie avant de t'endormir...J'ai Besoin De Toi, Tu Me Manque, Je T'aime...

Cest par le ciel qui brillait dans son eau. Que les mages de nos sommeils, se retirant, Répandaient leurs trésors dans la chambre obscure. VI. Et la beauté du monde s'y penchait. Dans le bruissement du ciel nocturne, Elle mirait son corps dans l'eau fermée. Des dormeurs, qui se ramifie entre des pierres. Elle approchait bouche et souffle

PoĂšmes pour la fĂȘte des mĂšres Maman, quand tu es en colĂšre, Maman, quand tu t’en vas, Maman, quand tu es de bonne humeur, Je t’aime de tout mon cƓur Maman, quand tu me cajoles, Maman, quand je te dis ce poĂšme, Comprends tu combien je t’aime ? Marie Aubinais dans les belles histoires de Pomme d'Api Pour imprimer ce poĂšme en 2 exemplaires, cliquez ici Que dans tous les vergers Qu’on en pourrait donner. Maurice CarĂȘme Pour imprimer ce poĂšme, cliquez sur l'image Si j'Ă©tais
 Si j'Ă©tais une fleur Je t'offrirais le bonheur de mon cƓur Si j'Ă©tais une oiseau Je t'emmĂšnerais au dessus de l'eau Si j'Ă©tais un bateau Je te ferais voguer sur l'eau Si j'Ă©tais un parfum Je t'embaumerais tous les matins Si j'Ă©tais un perroquet Je te ferais un bouquet avec mes plumes colorĂ©es Mais je ne suis qu'un enfant Et je t'ai fait un poĂšme Pour te dire que je t'aime Pour ma maman que j’aime J’ai mis dans un poĂšme Un a », un i », un m » Un e » pour dire je t’aime » Un a » au chocolat Un i » Ă  la chantilly Un m » avec de la crĂšme Un e » trĂšs amoureux Et j’ai fait un gĂąteau Que nous mangerons bientĂŽt En rĂ©citant ce poĂšme Pour ma maman que j’aime Anny et Jean-Marc Versini Pour imprimer ce poĂšme en 3 exemplaire format PDF, cliquez ici Bonne fĂȘte maman Petit oiseau, Ă  la volette viens te percher dessus mon doigt, que je te dise, Ă  la volette, un grand secret rien que pour toi "la plus jolie fĂ©e de la terre c'est ma maman, ma maman Ă  moi." pour imprimer ce poĂšme, cliquez ici Maman, ColĂšre, privĂ© de dessert, Transgression, punition, Ă©ducation, Une maman Des milliers d'Ă©toiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans les jardins, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur la plage, Des milliers de poissons dans la mer Et seulement seulement Une maman. Pour imprimer ce poĂšme, cliquez ici. Maman, tu me prends par la main Tu m’apportes ton soutien Et consoles mes chagrins, Aujourd’hui je voulais te dire Parce que cela me fait plaisir Maman Unique et chĂ©rie, Tu m’as donnĂ© la vie J’ai prĂ©parĂ© ce cadeau Que je t’offre aujourd’hui Pour te dire mon amour Tu me donnes de la tendresse GrĂące Ă  toutes tes caresses Aussi gentille que je puisse l’espĂ©rer Aujourd’hui comme tous les jours tu es la mĂšre rĂȘvĂ©e Ne sachant que faire pour te remercier, j’ai Ă©crit ce poĂšme qui traduit ma pensĂ©e. Ma vie est un enchantement Quand je m'endors, quand je m'Ă©veille, Ou quand je joue, Ă  tout moment, Une fĂ©e douce me surveille, Et m'entoure de soins charmants. Cette merveille, C'est ma maman ! Pour imprimer en 6 exemplaires, cliquez ici L’abeille va au soleil Le soleil brille dans le ciel Maman est belle Il est quelle heure ? Maman voudrait des fleurs Je l’aime de tout mon cƓur Maman fait du bateau Elle adore les cadeaux Elle part dans le vent Pour remonter le temps. Si tu Ă©tais un soleil, Je serais ton rayon. Si tu Ă©tais un oiseau, Je serais tes ailes. Si tu Ă©tais une fleur, Je serais tes pĂ©tales Si tu Ă©tais un cahier, Je serais tes feuilles. Si tu Ă©tais un crayon, Je serais ta gomme. En fait, je ne suis que mettre le nom de l'enfant Et je te souhaite une bonne fĂȘte maman. Maman, Je t'aime Et T'aimerai toujours Avec le mĂȘme amour Irremplaçable Maman Eternelle Maman ClĂ©ment, 8 ans de Marseille Pour imprimer en 2 exemplaires, cliquez ici Tu sais me soutenir Tu m'aimes et je t'aime Simplement J’ai cherchĂ© dans les poĂšmes Comment te dire je t’aime. J’ai trouvĂ© des mots savants Bien trop long pour mes cinq ans. Alors, j’ai cherchĂ© ailleurs Et j’ai trouvĂ© dans mon cƓur Les mots que tu m’as appris quand j’étais encore petit. Maman, je t’aime grand comme ça ! Je le dis avec mes bras. Pour imprimer en 6 exemplaires sur A4, cliquez ici Maman ma fĂ©e Faite de tendresse Et de caresses Maman bien-aimĂ©e. Aujourd’hui, c’est toi qui est lĂ  pour moi, Demain, je te soutiendrai Maman, je pense Ă  toi, Car tu fais tout pour moi, C’est toi qui me soutiens Quand j’ai un vrai chagrin Tu m’aides Ă  bien grandir Et Ă  m’épanouir Je t’écris ce poĂšme Pour te dire que je t'aime Je voulais, maman gentille, T’offrir de belles jonquilles En un bouquet engageant. J’ai regardĂ© les boutiques mais les prix sont fantastiques et ma bourse a peu d’argent ! Alors, au fond de ma tĂȘte J’ai composĂ© pour ta fĂȘte Un tout petit compliment Et je t’offre ce poĂšme Pour te dire que je t’aime, Je t’aime bien fort, Maman Ouvre grand la fenĂȘtre Ouvre grand La fenĂȘtre Maman Ouvre grand Chut ! Écoute le vent Qui te porte un poĂšme Des milliers de je t’aime Chut ! Écoute le vent Comme un jour de printemps. Il t'apporte un baiser Celui de ton enfant Bonne fĂȘte maman ! Pour imprimer en 2 exemplaires sur A4, cliquez ici Tout peut s'user Dans la vie Tout peut s’user Mes bas, mes souliers, Mon crayon et ma gomme Ă  effacer. Mais moi, je connais une chose Qui ne peut jamais s’user. Maman Il y a longtemps Je n’étais pas grand Et je t’aimais dĂ©jĂ  maman. Mais aujourd’hui, J’ai bien grandi Et je t’aime encore autant maman. Et demain quand Je serai gĂ©ant Je t’aimerai encore toujours maman. Merci maman, merci Maman, maman ! Toute la nuit. Maman, maman ! Tous les jours. Maman, maman ! Toute l'annĂ©e. Maman, maman ! Toute la vie. Et bien, je redis aujourd'hui Merci beaucoup, maman. Cacamelli Cliquez ici pour imprimer en 6 exemplaires Ma maman Quand j'Ă©tais petite, je ne savais pas manger, Ma maman m'a appris Et depuis, je dĂ©vore, je dĂ©vore sans arrĂȘt. Quand j'Ă©tais petite, je ne savais pas parler, Ma maman m'a appris Et depuis, je bavarde, je bavarde sans arrĂȘt. Quand j'Ă©tais petite, je ne savais pas marcher, Ma maman m'a appris Et depuis, je gambade, je gambade sans arrĂȘt. Quand j'Ă©tais petite, je ne savais pas chanter, Ma maman m'a appris Et depuis, je chantonne, je chantonne, sans arrĂȘt. Maman, je t'aime comme ça Maman cĂąline Maman coquine Maman divine Je t'aime comme ça Maman dĂ©vouĂ©e Maman adorĂ©e Maman attentionnĂ©e Je t'aime comme ça Maman heureuse Maman lumineuse Maman merveilleuse Je t'aime comme ça Pour imprimer en 2 exemplaires, cliquer ici Bonne fĂȘte maman Quand je grimpe Ă  l'Ă©chelle du bonheur Tout en haut, il y a une fleur Une fleur en forme de coeur A-t-on jamais vu ça ? Elle est en toi Maman Quand je suis tout au fond de tes bras. Anne Mangel Pour imprimer en 4 exemplaires, cliquez ici Ma vie est un enchantement Quand je m'endors Quand je m'Ă©veille Ou quand je joue Ă  tout moment Une fĂ©e douce me surveille Et m'entoure de soins charmants Cette merveille C'est ma maman. Pour imprimer en 4 exemplaires, cliquez ici Maman si tu Ă©tais une couleur, Tu les serais toutes Si tu Ă©tais un poĂšme Tu les serais tous Tu es tout pour moi La plus belle Pour aller grandir Denis HeudrĂ© Pour imprimer, cliquez ici Maman Tous les jours Tu inventes des bisous Alors Ă  mon tour D'inventer des mots Pour te dire mon amour Denis HeudrĂ© Pour imprimer, cliquez ici PoĂšme quand il y a 2 mamans Mes mamans mes mamans sont tellement aimantes Ă©patantes amusantes que j'aime les faire rire les rendre fiĂšres et les embrasser Denis HeudrĂ© Pour imprimer, cliquer ici

23déc. 2017 - Cette épingle a été découverte par Haas André. Découvrez vos propres épingles sur Pinterest et enregistrez-les.

Il est pour la pensĂ©e une heure
 une heure sainte, Alors que, s’enfuyant de la cĂ©leste enceinte, De l’absence du jour pour consoler les cieux, Le crĂ©puscule aux monts prolonge ses adieux. On voit Ă  l’horizon sa lueur incertaine, Comme les bords flottants d’une robe qui traĂźne, Balayer lentement le firmament obscur, OĂč les astres ternis revivent dans l’azur. Alors ces globes d’or, ces Ăźles de lumiĂšre, Que cherche par instinct la rĂȘveuse paupiĂšre, Jaillissent par milliers de l’ombre qui s’enfuit, Comme une poudre d’or sur les pas de la nuit ; Et le souffle du soir qui vole sur sa trace Les sĂšme en tourbillons dans le brillant espace. L’Ɠil Ă©bloui les cherche et les perd Ă  la fois Les uns semblent planer sur les cimes des bois, Tels qu’un cĂ©leste oiseau dont les rapides ailes Font jaillir, en s’ouvrant, des gerbes d’étincelles. D’autres en flots brillants s’étendent dans les airs, Comme un rocher blanchi de l’écume des mers ; Ceux-lĂ , comme un coursier volant dans la carriĂšre, DĂ©roulent Ă  longs plis leur flottante criniĂšre ; Ceux-ci, sur l’horizon se penchant Ă  demi, Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi ; Tandis qu’aux bords du ciel de lĂ©gĂšres Ă©toiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port d’un rivage lointain, Brillent sur l’OcĂ©an aux rayons du matin. De ces astres de feu, son plus sublime ouvrage, Dieu seul connaĂźt le nombre, et la distance, et l’ñge Les uns, dĂ©jĂ  vieillis, pĂąlissent Ă  nos yeux ; D’autres se sont perdus dans les routes des cieux ; D’autres, comme des fleurs que son souffle caresse, LĂšvent un front riant de grĂące et de jeunesse, Et, charmant l’orient de leurs fraĂźches clartĂ©s, Étonnent tout Ă  coup l’Ɠil qui les a comptĂ©s. Dans l’espace aussitĂŽt ils s’élancent
 et l’homme, Ainsi qu’un nouveau-nĂ©, les salue et les nomme. Quel mortel enivrĂ© de leur chaste regard, Laissant ses yeux errants les fixer au hasard, Et cherchant le plus pur parmi ce chƓur suprĂȘme, Ne l’a pas consacrĂ© du nom de ce qu’il aime ? Moi-mĂȘme
 il en est un, solitaire, isolĂ©, Qui dans mes longues nuits m’a souvent consolĂ©, Et dont l’éclat, voilĂ© des ombres du mystĂšre, Me rappelle un regard qui brillait sur la terre. Peut-ĂȘtre
 ah ! puisse-t-il au cĂ©leste sĂ©jour Porter au moins ce nom que lui donna l’amour ! Cependant la nuit marche, et sur l’abĂźme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence, Et nous-mĂȘme avec eux emportĂ©s dans leur cours, Vers un port inconnu nous avançons toujours. Souvent pendant la nuit, au souffle du zĂ©phyre, On sent la terre aussi flotter comme un navire ; D’une Ă©cume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours Ă©gal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues d’azur oĂč le globe se joue, On entend l’aquilon se briser sous la proue, Et du vent dans les mĂąts les tristes sifflements, Et de ses flancs battus les sourds gĂ©missements ; Et l’homme, sur l’abĂźme oĂč sa demeure flotte, Vogue avec voluptĂ© sur la foi du pilote ! Soleils, mondes errants qui voguez avec nous, Dites, s’il vous l’a dit, oĂč donc allons-nous tous ? Quel est le port cĂ©leste oĂč son souffle nous guide ? Quel terme assigna-t-il Ă  notre vol rapide ? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Échouant dans la nuit sur quelque vaste Ă©cueil, Semer l’immensitĂ© des dĂ©bris du naufrage ? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l’ancre Ă©ternelle Ă  jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis ? Vous qui nagez plus prĂšs de la cĂ©leste voĂ»te, Mondes Ă©tincelants, vous le savez sans doute ! Cet ocĂ©an plus pur, ce ciel oĂč vous flottez, Laisse arriver Ă  vous de plus vives clartĂ©s ; Plus brillantes que nous, vous savez davantage ; Car de la vĂ©ritĂ© la lumiĂšre est l’image. Oui, si j’en crois l’éclat dont vos orbes errants Argentent des forĂȘts les dĂŽmes transparents, Ou qui, glissant soudain sur des mers irritĂ©es, Calme en les Ă©clairant les vagues agitĂ©es ; Si j’en crois ces rayons qui, plus doux que le jour, Inspirent la vertu, la priĂšre, l’amour, Et, quand l’Ɠil attendri s’entr’ouvre Ă  leur lumiĂšre, Attirent une larme aux bords de la paupiĂšre ; Si j’en crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers vous les soupirs des amants, Les yeux de la beautĂ©, les rĂȘves qu’on regrette, Et le vol enflammĂ© de l’aigle et du poĂ«te, Tentes du ciel, Édens, temples, brillants palais, Vous ĂȘtes un sĂ©jour d’innocence et de paix ! Dans le calme des nuits, Ă  travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence. Tout ce que nous cherchons, l’amour, la vĂ©ritĂ©, Ces fruits tombĂ©s du ciel, dont la terre a goĂ»tĂ©, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent Ă  jamais les enfants de la vie ; Et l’homme un jour peut-ĂȘtre, Ă  ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce qu’il a perdu. HĂ©las ! combien de fois seul, veillant sur ces cimes OĂč notre Ăąme plus libre a des vƓux plus sublimes, Beaux astres, fleurs du ciel dont le lis est jaloux, J’ai murmurĂ© tout bas Que ne suis-je un de vous ! Que ne puis-je, Ă©chappant Ă  ce globe de boue, Dans la sphĂšre Ă©clatante oĂč mon regard se joue, Jonchant d’un feu de plus le parvis du saint lieu, Éclore tout Ă  coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beautĂ© suprĂȘme, Comme un pĂąle fleuron de son saint diadĂšme ! Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j’aimais briller prĂšs de la terre ; J’aimerais Ă  glisser sous la nuit des rameaux, À dormir sur les prĂ©s, Ă  flotter sur les eaux, À percer doucement le voile d’un nuage, Comme un regard d’amour que la pudeur ombrage. Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une Ăąme en deuil, un cƓur qu’un poids sublime oppresse, RĂ©pandant devant Dieu sa pieuse tristesse ; Un malheureux au jour dĂ©robant ses douleurs, Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs ; Un gĂ©nie inquiet, une active pensĂ©e Par un instinct trop fort dans l’infini lancĂ©e ; Mon rayon, pĂ©nĂ©trĂ© d’une sainte amitiĂ©, Pour des maux trop connus prodiguant sa pitiĂ©, Comme un secret d’amour versĂ© dans un cƓur tendre, Sur ces fronts inclinĂ©s se plairait Ă  descendre. Ma lueur fraternelle en dĂ©coulant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait Ă  leurs yeux Je leur rĂ©vĂ©lerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine ; Je sĂ©cherais leurs pleurs, et quand l’Ɠil du matin Ferait pĂąlir mon disque Ă  l’horizon lointain, Mon rayon, en quittant leur paupiĂšre attendrie, Leur laisserait encor la vague rĂȘverie, Et la paix et l’espoir ; et, lassĂ©s de gĂ©mir, Au moins avant l’aurore ils pourraient s’endormir ! Et vous, brillantes sƓurs, Ă©toiles mes compagnes, Qui du bleu firmament Ă©maillez les campagnes, Et, cadençant vos pas Ă  la lyre des cieux, Nouez et dĂ©nouez vos chƓurs harmonieux ; Introduit sur vos pas dans la cĂ©leste chaĂźne, Je suivrais dans l’éther l’instinct qui vous entraĂźne ; Vous guideriez mon Ɠil dans ce vaste dĂ©sert, Labyrinthe de feux oĂč le regard se perd Vos rayons m’apprendraient Ă  louer, Ă  connaĂźtre Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-ĂȘtre ; Et, noyant dans mon sein ses tremblantes clartĂ©s, Je sentirais en lui
 tout ce que vous sentez.
Wioa.